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 SRAS, GRIPPES A/H5N1, A/H1N1… DES PANDÉMIES PROVIDENTIELLES POUR LES LABOS

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super-dodo

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MessageSujet: SRAS, GRIPPES A/H5N1, A/H1N1… DES PANDÉMIES PROVIDENTIELLES POUR LES LABOS   SRAS, GRIPPES A/H5N1, A/H1N1…  DES PANDÉMIES PROVIDENTIELLES POUR LES LABOS I_icon_minitimeDim 13 Sep - 4:19

txt 1 :
Jusqu’à un passé récent, les épizooties de grippe aviaire survenant dans les élevages industriels restaient circonscrites. On n’y constata jamais de victime humaine. À l’opposé, les trois pandémies humaines de grippe aviaire du siècle dernier (grippe dite espagnole de 1917, grippe asiatique de 1957 et grippe de Hongkong de 1968) n’ont jamais été accompagnées ni précédées d’une épizootie de grippe aviaire.

Mais depuis la fin des années 1990, la fréquence de ces maladies contagieuses d’origine animale ne cesse de s’accroître avec le franchissement de la barrière des espèces pour atteindre l’homme : SRAS, grippe A/H5N1, puis tout récemment grippe A/H1N1… Ces nouvelles maladies émergentes laissèrent dans un premier temps experts, vétérinaires, médecins et virologues perplexes, voire paniqués.

Le 29 septembre 2005, le quotidien Le Monde résumera bien les « apparentes » inquiétudes de l’OMS (Organisation mondiale de la santé), avec l’arrivée de la peste aviaire H5N1 : « Sommes-nous à la veille d'une catastrophe mondiale résultant du passage imminent dans l'espèce humaine d'un virus grippal hautement pathogène d'origine animale ? Est-on au contraire en train de noircir, à l'envi, une situation épidémiologique, et ce alors même qu'aucun expert au monde ne peut raisonnablement prédire comment elle pourra évoluer à court, moyen ou long terme ? »

Pendant que la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture) et l’OIE (Organisation mondiale de la santé animale) se battent sur le front de cette épizootie H5N1, l’OMS jouera sur la psychose d’une prochaine et inéluctable pandémie humaine, orchestrée sans aucune base scientifique, pour exhorter les pays riches à s’en défendre, alors que, par le jeu des mutations incessantes, le virus sera ou ne sera pas H5N1. Profitant de la rapide maîtrise du SRAS, obtenue grâce à l’exemplaire collaboration internationale et sans médicament spécifique, l’OMS multipliera, dès janvier 2004, les messages d’alertes de pandémie, en décalage avec les documents plus rassurants destinés aux scientifiques.

Le registre employé sera quelque peu différent que pour le SRAS, même si le laboratoire Roche en est également un acteur central. L’OMS s’appuiera sur des experts en statistiques, en catastrophisme et en marketing, pour faire appliquer un certain principe de précaution par les pays riches. Ayant volontiers négligé ce principe dans le passé, ces derniers se devaient donc, pour être « politiquement corrects », d’être à l’écoute du maître international en santé publique, qualifié de « bateau ivre de la santé publique », qui naviguerait « sans maître à bord ni objectifs clairs sur un océan de corruption et d’inefficacité », sous le joug des lobbies pharmaceutiques. (Bertrand Deveaud et Bertrand Lemennicier, éditions L’Harmattan).

La stratégie mise en route par l’OMS reprendra ainsi les théories prédictives les plus alarmistes du Council on Foreign Relations (CFR), dirigé par David Rockefeller, sur la possibilité d'attaques terroristes au moyen de ces types de virus. Gérée par l’OMS, cette crise de la peste aviaire fera ensuite l’objet d’une mise en scène d’un scénario catastrophe, pour laquelle une société américaine de relations publiques, spécialiste des campagnes médiatiques (BMO Nesbitt Burns), apportera son savoir-faire. Des médecins prêteront également leur concours à cette entreprise. C’est le cas des Prs Derenne et Bricaire (« H5N1, Pandémie la grande menace, Grippe aviaire 500 000 morts en France ? », septembre 2005), des Drs Alvicino et Mike Skinner (« La menace H5N1, grippe aviaire, comprendre et s’en protéger », 2006) ou encore du Pr Dellamonica (« H5N1, la grippe aviaire. Vers une nouvelle pandémie », 2006). Les médias entretiendront également « le spectre de la pandémie » devant la survenue de quelques cas de contamination dans une même famille…

Le directeur général de l’OMS se croira cependant obligé de reconnaître, lors de la conférence de Genève en novembre 2005, qu’« il n'y a pas pour l'instant de début de pandémie de grippe humaine dans le monde. Cependant, tout porte à croire qu'elle se produira.[…] le virus de la grippe aviaire – très probablement le H5N1 – va muter pour devenir transmissible entre les hommes, ce qui provoquera une pandémie de grippe humaine. Nous ne savons pas quand cela se produira. Mais nous sommes sûrs que cela se produira ».

Dans l’attente de cette pandémie tant attendue par certains et suite à l’annonce faite par les laboratoires Roche à l’OMS en janvier 2004, sur son antiviral – le Tamiflu – qui « pouvait être efficace dans les premières phases de la grippe du poulet transmise à l’homme », l’OMS lancera alors son opération marketing.

Dans un contexte proche de la psychose, entretenue par cet organisme et relayée par les médias, les pays riches constitueront à prix d’or des réserves de Tamiflu®️, pour traiter, selon les recommandations de l’OMS, au moins 25% de la population, et investir également dans « des stocks massifs de vaccins en cours de production, vaccins dont rien n'indique qu'ils seraient d'emblée protecteurs contre le nouveau virus si ce dernier devait émerger à partir de l'actuel H5N1 ». Le gouvernement fédéral américain accordera ainsi, début mai 2006, un contrat de plus de 1 000 millions de dollars à cinq entreprises pharmaceutiques, pour produire des vaccins en cas de pandémie de grippe aviaire, cette somme provenant d'un fond exceptionnel de 3 800 millions de dollars approuvé par le Congrès en 2005.

Face à cette gestion mondiale de la crise caractérisant la pensée unique, quelques rares experts ignorés par les médias apporteront un son discordant. C’est le cas d’Evgueni Kouznetsov, du Centre russe de la santé des animaux sauvages, qui, répondant aux questions d’une agence de presse russe, reconnaîtra que « la grippe figure dans le quatrième groupe d'affections qui peuvent servir d'armes biologiques ». Bien entendu, il ne faut voir « aucune intention malveillante dans la propagation du virus car le danger est immense : si une mutation se produit effectivement, nul ne sera épargné, car il est pratiquement impossible de lutter contre une pandémie » (Russian News Information Agency, Novosti, 3 mars 2003). C’est le cas aussi de Kalyan Banerjee qui se déclarera « troublé et étonné » par la contamination, en mars 2006, de plusieurs gros élevages industriels indiens, en dehors de tout courant migratoire, alors que l’Inde venait de commander du Tamiflu et des vaccins et s’apprêtait à produire un antiviral générique. Pour cet ancien directeur de l'Institut national de virologie et membre du comité gouvernemental contre le bio-terrorisme, ces faits troublants demanderaient des investigations complémentaires afin d’éclaircir soigneusement « l’aspect commercial de cette crise sanitaire, car ce virus pourrait avoir été délibérément introduit ! » Ou encore le microbiologiste Kennedy Shortridge des universités d’Hongkong et d'Auckland en Nouvelle-Zélande, qui croit bon de préciser que le Tamiflu®️ et le Relanza®️ « ne seront pas nécessairement les médicaments magiques capables de stopper la transmission interhumaine du virus une fois qu'il aura muté ». Si la plupart des pays européens prétendent avoir une stratégie vaccinale, ce scientifique reste néanmoins très prudent en la matière, « car jusqu'ici il n'existe aucun vaccin véritablement efficace contre un virus qui a plus d'un tour dans son sac et ne cesse de muter ».



Quatre ans plus tard, faute de transmission interhumaine durable, la pandémie H5N1 ne s’est toujours pas manifestée. Faiblement contagieuse mais particulièrement virulente, cette épizootie aviaire H5N1 reste cependant endémique en Chine, au Vietnam, en Indonésie, ainsi qu’en Egypte. On déplore, dans ces quatre pays, 144 nouveaux cas humains dont 100 décès depuis novembre 2006 et une mortalité accrue (84% contre 60% en Asie précédemment).

Tout bascule cependant fin avril 2009. La grippe porcine américano-mexicaine H1N1 est déclarée le 24 avril 2009 et l’OMS tient enfin sa prochaine pandémie !

Après avoir revu les chiffres initiaux à la baisse, et dû convenir que le virus n’était, pour l’instant, pas plus virulent que celui de la grippe saisonnière, l’OMS a pu finalement relever son niveau d’alerte début juin tandis que se manifestaient les premiers cas de grippe, en dehors, semble-t-il, de tout contact avec des personnes ayant séjourné au Mexique ou aux Etats-Unis.

En l’absence de mise en quarantaine du Mexique et du sud-ouest des Etats-Unis, où furent observés les premiers cas en avril dernier, le virus a eu, il est vrai, tout loisir de gagner les cinq continents au gré du retour des voyageurs ; l’hiver austral et le passage du virus dans l’hémisphère sud faisant craindre une pandémie beaucoup plus virulente dès l’automne prochain, selon les experts de l’OMS.

En attendant, chacun ressort le plan de lutte contre la pandémie. Les actions en bourse du laboratoire Roche remontent avec les prescriptions systématiques de Tamiflu devant toute suspicion de grippe, tandis que les fabricants de vaccins nous promettent le vaccin qui nous protègera de la pandémie, alors que la mutation virulente n’a pas encore eu lieu ! Leurs usines tourneront à plein rendement, puisqu’il est envisagé de vacciner l’ensemble de la population mondiale contre la grippe saisonnière et ensuite contre le virus de la pandémie…



Cette course à l’arme vaccinale, comme la constitution et l’utilisation des antiviraux, se justifierait pour le Dr Bernard Demure, directeur du département des services de santé de la Banque mondiale, parce que « nous n’avons pas d’autre choix que d’être préparés, […] la réelle difficulté tient à ce qu’on ne sait pas à quoi il s’agit de faire face…[…] la question clé est de modifier les comportements. Au-delà de ça, espérons que la chance sera de notre côté »…

En faisant une confiance aveugle aux laboratoires pharmaceutiques, cette « préparation » dictée par l’OMS est-elle scientifiquement justifiée et sans danger? Ne faut-il pas craindre notamment des résistances au Tamiflu, signifiant une mutation virale plus virulente ?

Alors que les pandémies évoluent en deux temps, avec une deuxième flambée plus virulente un an plus tard, et que le virus est peu virulent dans sa première phase, ne serait-il pas préférable de privilégier l’immunité naturelle, toujours supérieure à l’immunité artificielle induite par la vaccination ?

D’autres possibilités thérapeutiques ne mériteraient-elles pas d’être envisagées ?

Les leçons des pandémies passées ont-elles été tirées ?

Faut-il, comme l’affirme Margaret Say, directrice du Conseil pour l'exportation des volailles et des œufs des Etats-Unis pour l'Asie du Sud-Est, « mettre toute notre énergie à fermer définitivement autant d'élevages de volaille de ferme que possible », prendre en grippe les petits élevages et développer les élevages intensifs de volailles et de porcs dont les conditions d’existence concentrationnaire constituent pourtant « des réacteurs biologiques à microbes » ?

Telles sont les questions auxquelles il nous faut maintenant répondre.

Pour ce faire, il sera fait appel au livre publié en 2007 aux Editions de Guibert : « La crise aviaire ou la Culture du mensonge », toujours d’actualité.

Pour une bonne compréhension de ce livre parfois technique, nous renvoyons le lecteur en annexe où il trouvera quelques définitions, la signification de certaines abréviations, ainsi que des explications sur le fonctionnement des virus.
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PREFACE





Il est plus que jamais grand temps de prendre sa santé en main, même si votre libre-arbitre est faible, raison de plus, tenez-en les rennes vous-même : c’est ce que vous ferez après la lecture de cet édifiant curriculum vitae des virus pandémiques.

Pauvre virus, il n’est rien et il est tout pour le contrôle social contemporain. Voulez-vous échapper au système de santé de plus en plus hypocrite, complètement lié aux lobbies chimico-pharmaceutiques, structures sans état d’âme ?

Merci, Dr Vercoutère, vous décrivez bien le « Mal être » qui va nous être proposé, mais vous lecteur, prenez la décision une fois pour toute de vous confronter, trouvez la solution qui est la vôtre, à vous de vous adapter, et de vos aptitudes d’adaptation dépendra votre survie.

Attention ! Tout être vivant a la capacité de s’adapter : n’est-il pas étonnant qu’avant la vaccination anti-variolique, alors que sévissaient la peste et le choléra, on ne retrouve dans la littérature médicale aucun cas de tuberculose pulmonaire. Comme disait le Dr Jules Mureau, éminent homoeopathe, qui fut pour moi une ouverture au vivant, à la biologie et à l’observation : « Je contre-indique de façon absolue et définitive toute vaccination ».

Malheureusement, le début du troisième millénaire est déjà sombre. Le bio pouvoir a déjà infiltré tous les gouvernements et détient en otage nos politiques, la police, la justice… Ce bio pouvoir a un budget qui dépasse de loin celui d’un état.

Ce bio pouvoir, vous le verrez au fil de la lecture, ne touche pas que les êtres humains, mais la vie au sens strictement biologique du terme. Cette volonté sera pire que nazisme et stalinisme réunis. L’ingénierie sociale mondialiste se place sous le signe du Gestell. C’est la possibilité de TOUT faire de TOUT, la possibilité de faire entrer la réalité dans une combinatoire sans fin et cette possibilité concerne aujourd’hui la matière vivante.

Ce quadrillage du vivant relève du crime parfait. Le Gestell ou rationalisation biologique du vivant est l’outil du pouvoir politique. Ami lecteur, réveillez-vous et restez vigilants jusqu’au terme de votre vie, participez ainsi à mettre fin à l’asservissement de l’humanité, à éliminer toute nuisance à votre intégrité physique et psychique.

Gardez votre épiderme en éveil. En effet, c’est la frontière entre intérieur et extérieur qui est l’apanage du vivant, c’est d’une spécificité irréductible, cela nous distingue du NON vivant. Plus on monte dans cette évolution et plus cette intériorité du vivant est forte, jusqu’à aboutir de mentir à l ‘égard de l’extérieur ; c’est ce qu’on appelle l’intimité mentale et psychologique. Cette possibilité propre au vivant de cacher des choses est insupportable pour le pouvoir, qui y voit une forme de résistance à son pouvoir inquisiteur.

Voilà une porte ouverte pour vous ami lecteur, une face imprévisible du vivant, du biologique que (fan de kabbale phonétique) j’aime prononcer en deux mots bio logique. Ami lecteur, exploitez cette piste et je remercie encore une fois le Dr Vercoutère pour son incroyable travail qui nous est livré. Bonne lecture.

N’oubliez pas : « quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple ou pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs » (Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, 1793, article 35).









CRI-VIE

Coordination d’associations, de médecins, de scientifiques, de juristes,

pour la recherche et l’information transparentes en matière de santé

3bis, rue Henri Faisans. 64 000 PAU. Tél : 05 47 41 50 22

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Le 31 août 2009



Monsieur Philippe REY

Préfet des Pyrénées-Atlantiques



Objet : Gestion des menaces de pandémies







Monsieur le Préfet,











Devant la presse écrite, vous avez dressé vendredi dernier un état des lieux de l’épidémie de grippe A dans le département.

Madame Coiffe, directrice départementale des affaires sanitaires et sociales aurait notamment déclaré que « pour des raisons évidentes, seront obligatoirement et systématiquement vaccinés : les professionnels de santé, les personnels des établissements scolaires et carcéraux. »

J’aimerais connaître « les raisons évidentes » qui poussent à la vaccination obligatoire de ces personnels, ainsi que les articles de loi sur lesquels s’appuient ces obligations.

Le vaccin « pandémique » serait-il le seul rendu obligatoire ? le vaccin saisonnier le serait-il également ?

Pour votre information et celle de tous ceux à qui ce ou ces vaccins seront imposés et qui ont le droit de recevoir une information « claire, loyale et appropriée » , je tiens à vous communiquer les documents scientifiques suivants, à charge pour vous, Monsieur le préfet, comme tous ceux qui réalisent la prescription, de transmettre ces informations à tous ceux qui subiront « obligatoirement » ces vaccins.

Le mode de fabrication des vaccins « pandémiques » étant comparable à celui du vaccin saisonnier, on peut s’attendre aux mêmes types d’effets secondaires dont la liste fournie par le Vidal – et donc par les fabricants qui ne fournissent qu’un % de leurs données pharmacologiques aux autorités sanitaires (Réf : Michel le Duff, directeur du Crim de Rennes, Ouest France, 5 novembre 2001) – est déjà longue et particulièrement inquiétante (voire pièce jointe rapport bénéfices/risques du vaccin saisonnier).

De plus, ces vaccins « pandémiques » feront appel à des adjuvants de l’immunité, tel l’hydroxyde d’aluminium ou le MF59 à base de squalène, qui tous deux sont carcinogènes et neuro-immuno-dépresseurs.

Ce n’est d’ailleurs pas sans raison que le Pr Bruno Marchou, chef de service des maladies infectieuses au CHU de Toulouse a déclaré dans Le Journal du Dimanche du 26 juillet dernier, qu’en cas de vaccination obligatoire « on aura quelques dizaines de milliers de cas avec des pathologies imputées à tort ou à raison au vaccin, comme on a eu la sclérose en plaques avec celui de l’hépatite B ». Précisons, ce que laisse supposer ce professeur, que le nombre de scléroses en plaques est passé de 20 000 en 1994 à plus de 80 000 en 2006 en rapport avec la vaccination de plus de vingt-cinq millions de français… Coïncidence, après dix ans de procédure, le laboratoire GlaxoSmithKline vient d’être reconnu responsable de la survenue chez une jeune fille de 16 ans d’une sclérose en plaques quelques mois après la dernière injection du vaccin anti-hépatite B…

Concernant les populations à risques ainsi que « les personnes âgées qui doivent d’abord se faire vacciner contre la grippe saisonnière », je tiens à vous préciser, comme le reconnaît le Vidal, que ce vaccin saisonnier, comme vraisemblablement le pandémique, induit des perturbations transitoires du système immunitaire, ce qui avait amené le Pr Montagnier à déclarer en 1987 que « dans le contexte actuel - le sida - on devrait peut-être envisager le dépistage des séropositifs avant toute vaccination » !

Bien évidemment, je ne manquerai pas d’informer les professionnels de santé ainsi que les personnels des établissements scolaires et carcéraux français.

Restant à votre entière disposition pour vous rencontrer, je vous prie de croire, Monsieur le préfet, à l’assurance de mes sentiments respectueux.











Dr Marc VERCOUTERE



















Pièces jointes :

- Réel rapport bénéfice/risque sur le Tamiflu

- Réel rapport bénéfice/risque du vaccin contre la grippe saisonnière.

- « Grippe A : des vaccins qui font peur »



LE RÉEL RAPPORT BÉNÉFICE/RISQUE DU VACCIN

CONTRE LA GRIPPE



L’efficacité du vaccin contre la grippe humaine, qui éviterait 2 500 à 4 000 décès chaque année en France et 400 à 700 décès en Belgique, n’a jamais été démontrée scientifiquement.

Ø La revue de médecine, The Lancet révélait déjà, le 10 août 1974, que « les résultats jusqu'à présent obtenus démontrent que l'offre annuelle d'une injection du vaccin dans la vaste industrie n'a pas entraîné une réduction significative de la maladie ». Vingt ans plus tard, une étude de l’institut national de santé et de recherche médicale (INSERM) confirmait la survenue d'une grippe chez 20 à 60% des vaccinés, ainsi que la supériorité de l'immunité naturelle qui protégeait bien plus longtemps.

Ø Le relevé des maladies transmissibles, édité le 1er mars 2001 par l’Agence de santé publique du Canada, confirme cette étude de l’INSERM. Selon le CDC de Vancouver qui a réalisé l’étude, 77% des 300 pensionnaires d'une maison de retraite de Colombie-Britannique avaient été vaccinés contre la grippe. 28 d'entre eux, ainsi que de nombreux membres du personnel, lui-même vacciné à 57%, contractèrent, quatre à huit semaines plus tard, une grippe de type B apparenté à B/Yamanashi, c'est-à-dire la même souche que celle utilisée pour la mise en route du vaccin administré en novembre 2000. Le Tamiflu®️, administré aux pensionnaires de l'un des services touché par les huit premiers cas de grippe, n'a pas empêché la survenue de 20 autres cas dans les autres services de l'établissement.

Ø Selon une étude plus récente, synthèse de 64 études internationales représentant 96 saisons de grippe et portant sur 2,5 millions d’observations, l’efficacité globale des vaccins sur les maladies grippales chez les personnes âgées n’est que de 23 %, lorsque le vaccin correspond bien au virus grippal en circulation (rassurez-vous, l’histoire ne dit pas que le virus du vaccin est responsable de l’épidémie de grippe !). Lorsque le vaccin rencontre un autre virus grippal que celui contre lequel il est censé lutter, la protection des sujets vaccinés est moins bonne que celle obtenue avec le placebo chez les personnes non-vaccinées ! (Dr Tom Jefferson et all., The Lancet, 22 septembre 2005.)

Ø Selon une synthèse de 51 autres études – dont 17 russes - portant sur plus de 260.000 enfants, les chercheurs ont conclu qu'il n'y avait « aucune évidence que l'injection du vaccin chez les enfants de 6 à 23 mois est plus efficace que le placebo. » (The Cochrane Database of Systematic Reviews. "Vaccines for preventing influenza in healthy children" 2006).

Pour les adultes en bonne santé, les résultats étaient comparables : 25 études incluant plus de 60 000 participants ont été passées en revue. Le groupe de Cochrane a constaté que la vaccination a réduit le risque de grippe d'un 6% maigre et a réduit le nombre de jours d’arrêt de travail par moins d'un jour (0,16 jour). (The Cochrane Database of Systematic Reviews « Vaccines for preventing influenza in healthy adults. »)

Ø Une autre étude canadienne a démontré que l'incidence de la grippe n’avait aucunement diminué dans l'Ontario, après l'introduction de la campagne universelle d'immunisation de grippe en 2000. Toutes les grippes confirmées par les laboratoires entre janvier 1990 et août 2005 ont été analysées. On a déterminé que « (…) en dépit de la distribution intensifiée de vaccinations et des ressources financières accrues employées pour favoriser la vaccination, » l'incidence de la grippe n'avait pas été diminuée par les campagnes nationales de vaccination contre la grippe. (Groll, DL, Thompson, DJ. « Incidence of influenza in Ontario following the Universal Influenza Immunization Campaign » ; Vaccine : April 5, 2006)

Ø Reposant, nous affirme-t-on, sur la présence d'anticorps spécifiques, l'efficacité du vaccin contre la grippe varie de 20 à 65% chez les personnes âgées et tend même à diminuer avec le temps en raison du « péché originel » des immunologistes. Les sujets ayant été précédemment infectés (ou vaccinés), produisent en effet préférentiellement des anticorps contre le premier type de virus qu'ils ont rencontré, plutôt que contre les souches contenues dans un vaccin ultérieur.



Les risques de la vaccination



- Le Vidal en France, comme le Compendium en Belgique, présents dans le cabinet de tous les médecins et des pharmaciens, nous informent de l’existence pour tous les vaccins contre la grippe, et en dehors de toute notion de sida, de « réponses faussement positives aux épreuves sérologiques utilisant la méthode Elisa pour détecter les anticorps contre HIV1, hépatite C, et surtout HTLV1. Infirmées par le Western Blot, ces réactions transitoires faussement positives seraient dues à la réponse IgM induite par la vaccination ». Preuve s’il en est que l’administration de ces vaccins qui font appel à du formol, reconnu cancérigène, n’est pas du tout maîtrisée et reste empirique.

- La revue de médecine, The New England Journal of Medicine du 9 mai 1996, nous apprend également que « la réplication du VIH est augmentée après administration du vaccin grippal à des patients infectés par le VIH. De plus, la vaccination semble augmenter la susceptibilité à l’infection in vitro des lymphocytes des personnes non infectées », voire la susceptibilité à d’autres infections.

- Le système immunitaire fait appel à des lymphocytes présents dans le sang et le tissu lymphatique : Les cellules K ou Natural Killer, capables de détruire les cellules infectées ainsi que les cellules cancéreuses. Interviennent également d’autres cellules comme les cellules T, fabriquées dans la moelle. Ces cellules doivent subir une maturation et une programmation au niveau du thymus pour se transformer en cellules CD4 et CD8. Les cellules CD4 (CD4 helper) orchestrent la réponse immunitaire en activant d’autres cellules immunitaires et en stimulant la production des anticorps par les lymphocytes B. Les cellules CD8 (CD8 suppressor) ont pour fonction d’arrêter l’activité des cellules tueuses en signalant l’arrêt de l’attaque. L’analyse de ce rapport CD4/CD8 permet de suivre attentivement l’évolution du système immunitaire chez les patients atteints de sida ; sa diminution indiquant une évolution défavorable avec une augmentation de la charge virale.

Or, des perturbations de ce rapport CD4/CD8 sont observées avec tous les vaccins. M. Eihl, J. Mannhalter, G. Zlabinger de l’Université de Vienne en Autriche ont ainsi mis en évidence, avec le vaccin contre le tétanos, comme avec les vaccins couplés, diphtérie, tétanos, polio et coqueluche, un affaiblissement du système immunitaire comparable à celui observé au cours du sida. L’anatoxine tétanique avait été injectée à 11 sujets en bonne santé, âgés de 25 à 50 ans, n’appartenant pas à un groupe à risque pour le sida. Entre 7 et 14 jours après la vaccination, les évaluations moyennes des rapports CD4/CD8 étaient significativement plus basses chez l’ensemble des sujets qu’avant la vaccination, avec pour certains des taux comparables à ceux observés en cas de sida. Un mois plus tard, ce rapport CD4/CD8 revenait à la normale. (New England Journal of Medicine, vol 310, 1984)

- D’autre part, 7 des 11 vaccins contre la grippe commercialisés font appel à des ARN double-brins qui exercent une régulation du noyau et donc des gènes des cellules de la personne vaccinée. Ces doubles ARN bloquent certains gènes sur la chaîne d'ADN et notamment chez les personnes âgées, dont la production des gènes et des cellules est diminuée ou ralentie voire déficiente. Il en résulte un fonctionnement anormal des cellules, au premier plan desquelles les neurones ! (travaux d’Andrew Fire et Craig C. Mello sur les mécanismes biologiques contrôlant les flux d'informations génétiques, qui leur a valu le Prix Nobel de Médecine et Physiologie 2006). D'où la floraison grandissante des Alzheimer actuels, au rythme de 250 000 nouveaux chaque année en France, pour lesquels la pollution électromagnétique n’est pas non plus étrangère.

- Quelque soit le vaccin contre la grippe, le Vidal nous apprend également qu’il faut craindre dans 1 cas sur 1 000 à 1 cas sur 10 000, des névralgies, paresthésies, convulsions, thrombocytémies transitoires, ainsi que choc anaphylactique mortel: soit globalement, chaque année en France, entre 1 100 à 11 000 personnes affectées par ce genre de complications qui nécessitent une hospitalisation pour 10 millions de personnes vaccinées (entre 200 et 2000 hospitalisations en Belgique). Plus rarement, moins d’1 cas sur 10 000, encéphalomyélite, névrite, syndrome de Guillain-Barré ou encore vascularite avec insuffisance rénale : soit quand même, chaque année en France, près de 1 100 personnes qui devront également être hospitalisées (près de 200 en Belgique)...

- Entre 1999 et 2002, avaient ainsi été signalés au VAERS, banque de données des effets adverses des vaccins dépendant de la FDA américaine, 419 effets secondaires, dont 41 hospitalisations et 11 décès, uniquement chez les enfants de moins de six ans, avec une sous-notification de plus de 90%...The American Medical Association (Jama) du 2 juin 1993, reconnaissaient une sous déclaration considérable de ces complications post-vaccinales : « Bien que la FDA reçoive de nombreux rapports d'effets secondaires, ceux-ci ne représentent vraisemblablement qu'une fraction des réactions graves qui se produisent. (...) Seulement un pour cent des réactions graves sont rapportées à la FDA ».

- In fine, par le biais du constant phénomène de commutation, quelle peut être l’incidence de ce vaccin saisonnier, comme du vaccin H1N1, sur les porteurs sains H1N1 ?







Christian RASSON Dr Marc VERCOUTERE

Pharmacien

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Le 6 juin 2009





Madame Roselyne BACHELOT

Objet : Gestion des menaces de pandémies Ministre de la santé

à répétition,





Madame la Ministre,







Depuis une dizaine d’années, les menaces de pandémies, Sras, grippes H5N1 et H1N1, se répètent sans livrer tous leurs secrets* tout en profitant aux laboratoires pharmaceutiques qui bénéficient de la confiance aveugle des autorités sanitaires internationales et nationales.

Pourtant, la Cour de comptes, comme le Sénat, reconnaissent que « la politique du médicament est inféodée aux lobbies pharmaceutiques », tandis que « la formation et l’information des médecins sont assurées essentiellement par ces mêmes laboratoires » (rapport de la Cour des comptes sur le budget de la sécurité sociale, septembre 2001). De plus, ces mêmes laboratoires « ne communiquent que 1 % de leurs données officielles à l’Agence de sécurité sanitaire des médicaments avant la commercialisation » (Pr le Duff, directeur du Crim). Les scandales à répétition en témoignent… (voir livre « La crise aviaire ou la culture du mensonge » aux éditions de Guibert, que vous avez reçu, pages 126 à 137).

Pourtant, fin avril 2003, Santé Canada décidait déjà de ne plus fournir l’accès habituel au Ribavirin, l’antiviral commercialisé pour le traitement du SRAS par le laboratoire Roche et largement prescrit jusque-là. Un groupe de travail composé d'experts et de cliniciens du Canada et de représentants des CDC américains en était « arrivé à la conclusion qu'il n'y avait aucune preuve pour appuyer l'utilisation continue du Ribavirin en dehors des essais cliniques à ce stade-ci ». (voir même livre, pages 55 et 56)

En janvier 2004, dans un contexte proche de la psychose entretenue par l’OMS et relayée par les médias et suite à l’annonce faite par les laboratoires Roche à l’OMS, concernant son remède qui, à partir de son action sur le rat, « pouvait être efficace dans les premières phases de la grippe du poulet transmise à l’homme », les pays riches constitueront à prix d’or des réserves de Tamiflu®️ pour traiter selon les recommandations de l’OMS au moins 25% de la population. Face au virus H5N1, le Tamiflu se révèlera chez l’homme guère plus efficace qu’un placebo mais avec de nombreuses résistances ainsi que des mutations inquiétantes au Japon (voir même livre, pages 138 à 146).

A peine l’hypothétique menace de pandémie H1N1 officiellement reconnue fin avril dernier, OMS et CDC nous annonceront 48 heures plus tard que le Tamiflu est efficace contre le virus H1N1, alors qu’un autre H1N1 lui est majoritairement résistant selon le Pr Sylvie Van der Werf, directeur d'une unité de recherches à l'Institut Pasteur et du Centre national de référence pour la région Nord (Le Figaro, 4 juin 2009)…



D’autre part, les campagnes de vaccination « préventives » contre le virus H5N1 instaurées dès 1997 en Chine, puis en 2005 en Chine, en Indonésie et au Vietnam , ont été un échec. Ces trois pays, ainsi que l’Egypte importatrice de poulets notamment chinois, n’ont toujours pas maîtrisé la grippe aviaire H5N1, tant chez les volailles que chez l’homme (67 cas humains en Indonésie, 16 cas au Vietnam, 18 en Chine et 44 cas en Egypte depuis novembre 2006). (voir même livre, pages 65 et 95 à 100).

Comment dans ces conditions, tandis qu’ils sont particulièrement mutagènes, peut-on espérer maîtriser ces virus H5N1 et H1N1 par les antiviraux et la vaccination qui peuvent, de surcroît, favoriser la sélection de germes plus virulents par le constant phénomène de commutation et alors que la vaccination contre la grippe saisonnière n’a jamais apporté la preuve de son efficacité? (voir même livre, pages 147 à 162 et 175 à 179)

De plus, la survenue de nouvelles menaces de pandémie ne peut être une surprise pour les professionnels de la santé publique. Les conditions d’élevage intensif constituent en effet « des réacteurs biologiques à microbes » (voir même livre pages 192 à 200), raison pour laquelle l’American Public Health Association a appelé à un moratoire sur les élevages industriels dès 2003. Le Guardian du 27 avril dernier, le Los Angeles Times du 28 avril et The Independant du 1er mai, n’ont d’ailleurs pas hésité à montrer du doigt les usines à virus de l’industrie agro-alimentaire et notamment une mégaporcherie produisant près d’un million de porcs par an et appartenant à une multinationale américaine, le groupe Smithfield venu au Mexique pour fuir des problèmes judiciaires aux USA et s’établir « dans des endroits habités par une population fragile et facile à faire taire ». Cette entreprise est située à 8 km de La Gloria où le premier cas de grippe a été observé chez un enfant qui a contracté la maladie le 2 avril. Parmi les 2 243 habitants de La Gloria, 1 800 d’entre eux avaient présenté une affection respiratoire aiguë, trois enfants en étant décédés alors que la moitié des habitants du village vit et travaille à Mexico durant la semaine. Une équipe d’experts de l’ONU déléguée sur place début mai devait tenter de déterminer le lien éventuel entre la nouvelle souche H1N1 et cet élevage de porcs.



Déjà les seuls à tirer les bénéfices de la « spéculative » menace bioterroriste en 2001 ainsi que le signalait le Washington Post dans son édition du 5 décembre 2002, les fabricants de vaccins et les laboratoires Roche et GlaxoSmithKline seraient-ils les grands vainqueurs de « la » pandémie inéluctable pour certains experts en vue, l’OMS et bien entendu les laboratoires ?

Selon le Journal du Dimanche du 30 mai dernier, la France s’orienterait ainsi vers une campagne de vaccination contre la grippe A (H1N1) à l'automne pour un coût total d'un milliard d'euros. Après avoir commandé 50 millions de doses à GlaxoSmithKline **, la France devrait en commander 50 autres millions à Sanofi et Novartis ; ces trois labos ayant par ailleurs reçu des commandes des USA, de la Grande-Bretagne…

Dans cette optique de massive double campagne de vaccination contre la grippe saisonnière et la grippe H1N1 recommandée pour tous par le Pr Sylvie Van der Werf (Le Figaro, 4 juin 2009) – et peut-être rendues obligatoires - , le citoyen a le droit de pouvoir apprécier le réel bénéfice /risque de tels vaccins qui n’ont jamais fait la preuve de leur efficacité au niveau de la grippe saisonnière alors que dans les menaces de pandémies, comme en 1976 aux USA, leur utilisation a dû être suspendue devant les centaines de décès et de paralysies provoqués (voir même livre, page 47), tandis que par le constant phénomène de commutation, de telles vaccinations peuvent favoriser la sélection de virus plus virulents et agressifs.

L’association Cri-vie, qui prône une recherche et une information transparentes en matière de santé, entend défendre les intérêts légitimes des citoyens. Une fois, Madame le Ministre, que vous nous aurez transmis le RCP et plusieurs exemplaires de ces vaccins, nous ne manquerons pas de réaliser des expertises indépendantes – européenne et française - pour nous assurer de leur absence de dangerosité et de leur totale sécurité. La directive européenne sur le droit à la consommation de juillet 1985 est, on ne peut plus claire en la matière en précisant qu’« un produit est défectueux, dès qu’il n’offre pas la sécurité à laquelle chacun peut légitimement s’attendre ».

Plutôt que de se focaliser sur les seuls vaccins et antiviraux – dont l’efficacité, pour les uns et les autres, n’a encore jamais été démontrée -, ne croyez-vous pas, Madame le Ministre, que le bon sens commanderait de faire appel à des méthodes d’approche et de traitement qui ont fait leurs preuves, tel l’hygiène de vie (qui ne se limite pas à l’indispensable lavage des mains), le Chlorure de Magnésium, les huiles essentielles … sans oublier la confiance – reposant sur une information transparente - puisque la peur s’avère plus contagieuse que tous virus ou bactéries (voir même livre, pages 218 à 226) ?

Dans l’attente, et restant à votre entière disposition, je vous prie de croire, Madame le Ministre, à l’assurance de mes sentiments respectueux.









Dr Marc VERCOUTERE

Président de la CRI-VIE.



* Pour le Dr Bernard Demure, directeur des services de santé de la Banque Mondiale, la course à l’arme vaccinale et la constitution de stocks d’antiviraux se justifient parce que « nous n’avons pas d’autre choix que d’être préparés », tout en reconnaissant que « la réelle difficulté tient à ce qu’on ne sait pas à quoi il s’agit de faire face. […] la question clé est de modifier les comportements. Au-delà de ça, espérons que la chance sera de notre côté » !



** Lors de la précédente crise H5N1, David Stout, président des opérations pharmaceutiques du groupe GlaxoSmithKline, avait déclaré qu’il était « très inhabituel » qu’un gouvernement commande un produit qui n’a pas encore reçu les approbations sanitaires, comme c’est le cas pour ces vaccins…

La grippe dite espagnole




Au lendemain de la Première Guerre mondiale qui fit plus de 13 millions de morts, un autre désastre plus meurtrier encore se prépare : la « grippe espagnole » qui, selon une rumeur persistante en France à cette époque de guerre, proviendrait de boîtes de conserves importées d’Espagne, dans lesquelles des agents allemands auraient introduit des microbes. D’autres hypothèses plus ou moins sérieuses ont également circulé sur son origine.

En dépit de son nom, né de cette rumeur française, bien typique d’une psychose collective en temps de guerre qui fait voir partout la main de l’ennemi, cette grippe semble en fait avoir débuté aux Etats-Unis dans le camp militaire de Fort Riley, voire celui de Funston au Kansas selon d’autres sources. Peu avant son éclosion, les soldats américains furent massivement vaccinés en 1917-1918, avant leur départ pour l’Europe, et ce contre la variole, la diphtérie, le tétanos, la rage et la typhoïde. De telles campagnes de vaccination furent pratiquées systématiquement dans toutes les garnisons américaines, ainsi que chez une partie de la population civile. Cette grippe se répandit alors à travers le continent nord-américain en l’espace d’une semaine. Son introduction en Europe eut lieu à Bordeaux avec le débarquement du contingent américain en avril 1918. En avril et mai, l’épidémie accompagna l’armée américaine en Italie et en Espagne. De là, elle s’étendit à l’Europe entière, puis dans les colonies, notamment par les transports de soldats.

Après une première vague bénigne où la plupart des victimes furent sur pied au bout de quelques jours de fièvre, deux vagues meurtrières se succédèrent, l'une de mi-septembre à décembre 1918, l'autre de février à mai 1919, tuant près de 40 millions de personnes dans le monde entier avant de disparaître.

Ce fut, pour l’époque, un grand désastre sanitaire. Près de la moitié de la population mondiale aurait été touchée par ce virus frappant essentiellement des nourrissons et des adultes jeunes, victimes de complications infectieuses graves en cette période de fin de guerre et de totale pénurie, sans l’aide des antibiotiques qui n’existaient pas encore.

Certains Etats payèrent un lourd tribut en vies humaines : 550 000 américains moururent, soit bien plus que les pertes cumulées des deux guerres mondiales, de la guerre de Corée et de celle du Vietnam. Dans l’armée américaine, il y eut 35 à 40% de grippés avec une mortalité de 2,5%. En Alaska, 25% de la population fut fauchée dont 60% chez les esquimaux. En France, on évoqua plus de 400 000 victimes, dont Edmond Rostand et Guillaume Apollinaire, mais la censure de guerre en limita l'écho, les journaux préférant annoncer une nouvelle épidémie en Espagne, pays neutre et donc moins censuré, alors que l'épidémie faisait déjà ses ravages en France. On comptabilisa également 112 000 victimes anglaises, 400 000 en Allemagne, des milliers de victimes en Afrique et entre 13 et 20 millions de morts pour le seul sous-continent indien.

Curieusement, la Grèce et quelques autres pays qui n’avaient pas accepté ces vaccinations de masse échapperont comme par miracle au fléau de cette grippe. Aux Etats-Unis, les seuls qui ne furent pas contaminés furent les individus qui refusèrent les vaccinations.

D’autre part, regroupant les observations convergentes d’une cinquantaine de médecins homéopathes américains, un article publié dans The Journal of the American Institute of Homoeopathy de 1921, témoigne des pourcentages de guérison importants obtenus par cette médecine globale.

Ainsi, Dean W. A. Pearson, de Philadelphie, recensa 26 795 cas de grippe traités par des praticiens homéopathes avec une mortalité de 1,05% alors que la mortalité moyenne chez les tenants de la médecine classique était de 30%. La société médicale Homéopathique du District de Columbia rapporta 1 500 cas avec seulement 15 décès. De son côté, le Dr E. F. Sappington, de Philadelphie, signala 100% de guérisons à l’Hôpital Homéopathique national.

Selon Eleanor MacBean, témoin sur place aux Etats-Unis de cette épidémie, « des hommes vigoureux et robustes pouvaient ainsi mourir du jour au lendemain. La maladie présentait les aspects de la peste noire, comme aussi de la fièvre typhoïde, de la diphtérie, de la pneumonie, de la variole, des maladies paralytiques, comme d’autres maladies contre lesquelles les populations avaient été vaccinées juste après la première guerre mondiale.

Pour autant que j’aie pu l’observer, la grippe atteignait essentiellement les vaccinés. Ceux qui avaient refusé la vaccination échappaient à la maladie. Ma famille avait refusé toutes les vaccinations : c’est ainsi que nous sommes restés tout le temps en bonne santé (…)

Quand l’épidémie atteignit son paroxysme, tous les magasins, les écoles, les entreprises étaient fermées et même jusqu’à l’hôpital. Les infirmières et les médecins qui s’étaient faits vacciner étaient terrassés par la maladie. On ne voyait plus personne dans les rues. La ville était devenue une ville fantôme (…)

Alors que pour les médecins et les hôpitaux traditionnels, les décès s’élevaient à 33%, les autres hôpitaux (non traditionnels) comme Battle Creek, Kellogg, Macfadden’s et Health-Restorium obtenaient pratiquement 100% de guérison avec des méthodes naturelles simples comme les cures d’eau, les bains, les lavements, le jeûne, des régimes alimentaires très bien étudiés comprenant essentiellement de la nourriture naturelle (…) Chez les militaires vaccinés, la maladie a frappé sept fois plus que chez les civils non vaccinés… » (Swine Flu Expose, Eleanor MacBean Ph.D., N.D, 1977).





Extraits de La Crise aviaire ou la culture du mensonge

Dr Alain ROSE-ROSETTTE, Dr Marc VERCOUTERE

Editions de Guibert, 2007







« Je pense depuis longtemps, que si un jour les méthodes de destruction de plus en plus efficaces finissent par rayer notre espèce de la planète, ce ne sera pas la cruauté qui sera la cause de notre extinction, et moins encore, bien entendu, l’indignation qu’éveille la cruauté, ni même les représailles et la vengeance qu’elle s’attire... mais la docilité, l’absence de responsabilité de l’homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public. Les horreurs auxquelles nous avons assisté, les horreurs encore plus abominables auxquelles nous allons maintenant assister, ne signalent pas que les rebelles, les insubordonnés, les réfractaires sont de plus en plus nombreux dans le monde, mais plutôt qu’il y a de plus en plus d’hommes obéissants et dociles ».

Georges BERNANOS[b]
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MessageSujet: Re: SRAS, GRIPPES A/H5N1, A/H1N1… DES PANDÉMIES PROVIDENTIELLES POUR LES LABOS   SRAS, GRIPPES A/H5N1, A/H1N1…  DES PANDÉMIES PROVIDENTIELLES POUR LES LABOS I_icon_minitimeDim 13 Sep - 4:25

POUR CONCLURE



La cécité réductrice et l’amnésie chronique de nos institutions

Chacun se souvient de la célèbre prestation télévisée d’un grand professeur d’université expliquant aux populations que le nuage provenant de l'explosion de la centrale nucléaire de Tchernobyl s'était arrêté juste aux frontières de la France en avril 1986. Depuis, le bilan de cette catastrophe est revu régulièrement à la hausse par les experts confrontés à la réalité du terrain.

Avant et depuis cette triste date, la liste des scandales sanitaires n’a fait qu’augmenter : Thalidomide®️ et ses malformations de l’appareil locomoteur, Distilbène®️, interdit aux USA depuis 1976, mais prescrit en France jusqu’en 1982 chez la femme enceinte et responsable de stérilités et de cancers génitaux dans la descendance, Hormone de croissance où les pièces à conviction ont disparu ou ont été brûlées « accidentellement » - et l’instruction particulièrement longue, plus de 16 ans ( !) -, Sida, sang contaminé où la notion de « responsabilité sans culpabilité » a été créée par nos politiques, Hépatite C, « vache folle », vaccin hépatite B précédé des ignomineuses expériences réalisées au Willowbrooke State Hospital de New York où l'on inocula le virus responsable de l’hépatite B chez des enfants handicapés, entre 1965 à 1971, afin d’élaborer un vaccin plasmatique administré ensuite à 3 000 homosexuels américains en 1980 dont 87% contractèrent ensuite le « sida »…

Sans oublier la Canicule de l’été 2004 qui a touché tous les pays européens ; la France présentant trois fois plus de décès que l’Italie chez laquelle la canicule a pourtant duré plus longtemps et six fois plus que l’Espagne aussi touchée. Lucien Abenhaïm, directeur général de la santé à l’époque, après avoir démissionné, publia alors un livre au titre évocateur sur les dysfonctionnements des autorités sanitaires françaises : « Canicules » au pluriel…

Silences, manipulation de la vérité scientifique et contrevérités ont ainsi justifié « le droit essentiel pour l’homme de connaître et de comprendre ». Le Pr Axel Kahn croit bon cependant ajouter que « cette liberté fondamentale n’implique cependant pas que l’objectif de connaissances autorise à porter atteinte à la dignité et à la sécurité d’autrui », y compris celle de… nos amis les bêtes sans doute.

C’est pourtant ce qui est arrivé dans tous ces scandales sanitaires passés comme celui notamment de la vache dite folle.

Le varron, parasite de la vache, se développant d’autant plus que les animaux sont affaiblis, faisait somme toute bon ménage avec celle-ci jusqu’au moment où l’homme décida son éradication en faisant appel à un dérivé organophosphoré, le Phosmet®️, dont le principe actif n’est autre que la Thalidomide®️ de sinistre réputation. L’encéphalopathie spongiforme bovine – et avec elle la maladie d’Alzheimer - est alors apparue en Grande-Bretagne avant d’atteindre quatre ans plus tard, la Suisse et l’Irlande (qui utilisèrent cette molécule neurotoxique quatre ans après la Grande-Bretagne), puis dans d’autres pays occidentaux dont la France et outre-Atlantique le Canada et les Etats-Unis.

L’hypothèse du prion responsable a été validée par la plupart des scientifiques, les bureaucrates de l’administration et la majorité des médias qui tous, répugnent à remettre en cause une hypothèse qui a des conséquences sur la santé publique une fois qu’elle est traduite en décisions politiques.

Cette théorie infectieuse de la maladie de la vache folle s’est ainsi traduite par la destruction de centaines de milliers de bêtes bien innocentes. Elle a aussi détourné l’attention des autres causes possibles avancées en particulier par Marc Purdey qui, outre l’éradication par le Phosmet®️, voyait d’autres facteurs, notamment le déséquilibre manganèse /cuivre au niveau des sols. Ce déséquilibre a d’ailleurs été confirmé par les expériences réalisées par le Docteur David Brown, chercheur à l'Université de Bath, qui a reproduit in vitro les 4 modifications rendant pathogène la protéine prion, naturellement présente.

Ce monopole de la théorie infectieuse a également engendré la peur de consommer de la viande tout en empêchant les investigations sur les approches alternatives beaucoup moins destructrices.

De même, après la survenue d’épizooties de fièvre aphteuse dans le Caucase et dans le Maghreb en 2000, les autorités européennes avaient lancé dans ces pays aux portes de l’Europe une vaste campagne de vaccination contre cette maladie afin de protéger l’Europe. L’année suivante, une épizootie dévastatrice touchait le Royaume-Uni, suivie de l'apparition de nombreux foyers en Irlande, en France et aux Pays-Bas. Des millions de bêtes innocentes furent massacrées, victimes de la politique de « prévision », alors qu’un traitement simple, à base de chlorure de magnésium ajouté à l’eau de boisson, aurait évité cette nouvelle catastrophe sanitaire.



Urbanisation, Mondialisation et Pensée unique

Dans la crise aviaire, nous retrouvons ce même monopole de la pensée unique, maillon indispensable de la mondialisation. Les décisions politiques à l’encontre des dizaines de millions de volailles abattues sont ainsi à mettre en parallèle avec celles prises dans le cadre de la vache dite folle, alors que des centaines de millions de personnes meurent de faim et que des solutions beaucoup moins destructrices existent comme nous l’avons vu précédemment.

Malgré les criantes évidences, l’attitude coupable et méprisante des multinationales de l’agro-alimentaire vis-à-vis de ces volailles génétiquement modifiées et confinées dans un univers concentrationnaire, n’est aucunement remise en question. Il suffit qu’elles proclament la « biosécurité » du commerce des intrants et de l’alimentation des volailles pour que les autorités sanitaires internationales et nationales leur donnent carte blanche. Avec et après cette crise, la production de volailles sera de plus en plus assurée par les élevages intensifs tributaires de ces multinationales qui préparent déjà la parade ultime à cette première crise d’ampleur mondiale : des poulets transgéniques résistant au virus H5N1, alors que cette crise est liée à la précarité génétique des élevages industriels associée aux conditions de vie dantesque des volailles sur lesquelles les vaccinations intempestives facilitent la sélection de germes et virus plus virulents et agressifs !

Par leurs filiales pharmaceutiques, - et vice-versa - ces multinationales couvrent toute la crise en gérant la solution finale par la recherche et l’élaboration de vaccins pré-pandémiques et pandémiques. Elles sont ainsi gagnantes sur tous les tableaux mais pas autant qu’elles ne le souhaiteraient toutefois.

Car, à ce scénario plutôt bien ficelé, manque un maillon qui tarde à se concrétiser : une mutation rendant le virus, déjà très virulent, transmissible à l’homme. Qu’à cela ne tienne, il suffisait de changer de terme et passer du virus A/H5N1 au virus porcin H1N1, facilement transmissible mais faiblement virulent actuellement, tout en pouvant le devenir beaucoup plus par le jeu des mutations, ce que semblent craindre – ou espérer, on peut se le demander – certains experts. Au gré du « vent mauvais », ces deux virus complémentaires finiront peut-être par se rejoindre pour constituer un super virus très virulent et très contagieux.

La promiscuité mégaporcherie industrielle-élevages intensifs de volailles près de La Gloria au Mexique, d’où la crise porcine semble avoir trouvé son origine ou l’une de ses origines, sera rapidement écartée par les épidémiologistes et virologues dont les investigations seront un peu rapidement suspendues. Plusieurs épizooties dans les élevages de volailles voisins avaient pourtant été discrètement signalées dans les mois précédents tandis que dans ce vaste complexe industriel d’élevage concentrationnaire de porcs la mortalité infectieuse y est élevée avec les fosses pleines de cadavres de porcs attirant mouches et autres insectes… La grippe porcine est devenue rapidement grippe A/H1N1, pour tenter d’effacer l’énorme responsabilité de ces élevages intensifs dignes des camps de concentration de sinistre mémoire.

Alors que tout organisme doué de vie tente toujours de s’adapter et de réagir aux agressions - ce que font très bien virus et bactéries -, l’homme moderne voudrait tout contrôler, tout régenter sur terre et même autour de notre planète et appliquer sa vision réductionniste à la gestion de la pandémie qu’il n’a pas forcément cherché à éviter. Certains, tels Kalyan Banerjee, ancien directeur de l'Institut national de virologie et membre du comité gouvernemental indien sur le bio-terrorisme pour qui le virus H5N1 « pourrait avoir été délibérément introduit… » ou encore Leonid Ivachov. Pour ce dernier, ancien chef de la Direction de la coopération militaire internationale du ministère russe de la Défense et président de l'Académie des problèmes géopolitiques, toutes les épidémies actuelles ont été créées dans des laboratoires. « Les médecins militaires détiennent la formule de la pneumonie atypique qui a donné naissance au virus. La grippe aviaire a également une origine artificielle ». Cet expert en géopolitique, ajoute même que « Selon les renseignements américains, d'ici 2015, quelque 3 milliards de personnes seront "de trop", notre planète s'attend ainsi à une surpopulation."L'activation" des différents virus susceptibles de déboucher sur la mort massive de gens est une stratégie globale destinée à réduire la population de la planète ».

Ce scénario que certains sembleraient vouloir nous imposer comprendrait-il également le contrôle du comportement humain par l’introduction avec la vaccination universelle de transpondeurs ou autres cristaux liquides ?

Depuis quarante ans, cette idée a fait son chemin. Dans son ouvrage Contrôle physique de la pensée, en 1969, le Dr José Delgado avançait déjà que « L'une des possibilités des transmetteurs cérébraux est d'influencer les gens afin qu'ils se conforment aux systèmes politiques... les réactions émotionnelles et mentales peuvent être provoquées, maintenues, modifiées ou inhibées par stimulation de structures cérébrales spécifiques. Le contrôle physique de plusieurs fonctions cérébrales est un fait établi. Il est même possible de suivre les intentions, le développement des pensées et les expériences visuelles. » Dans l’une de ses nombreuses expériences – qui avaient peut-être amené Albert Einstein à considérer la science comme criminelle - ce chercheur avait ainsi réussi à modifier le comportement agressif d’un taureau dans une arène. Par stimulation d’une sonde introduite préalablement dans son cerveau, ce taureau était devenu brutalement doux comme un agneau.

Il est ainsi parfaitement possible de stimuler considérablement les performances d’un sportif de haut niveau sans que le contrôle antidopage ne révèle un quelconque produit antidopant…

Lors d'une conférence-débat qui s’était tenu en février 1996 à Périgueux, le Dr Guy Londechamp avait attiré l'attention sur les cristaux liquides. « N’est-ce pas l'installation d'une antenne à l'intérieur de notre organisme, programmable de l'extérieur ? Ce peut être de la "science fiction", à moins que la science fiction ne soit déjà très au-dessous de la réalité... N’est-on pas en train d'injecter aux gens avec le vaccin de l'hépatite B, non seulement les protéines de la capsule du virus, mais aussi d'autres informations, probablement des cristaux liquides (boucles d'ADN de synthèse), permettant de programmer toutes les personnes de l'extérieur, à un moment donné, pas forcément tout de suite? Mais le dispositif serait en place. En définitive, le problème est de savoir si les avancées technologiques sont suffisantes pour avoir une connaissance précise du modèle ADN à injecter, afin de contrôler les consciences. Il est bien difficile de savoir exactement ce qu'il y a dans ces vaccins. »

Malheureusement, les nanotechnologies permettent cela.

N’en serait-il pas de même avec les vaccins contre la grippe saisonnière, voire avec les vaccins pandémiques H5N1 et H1N1 ?

Alors qu’ils bloquent déjà certains gènes déficients sur la chaîne d’ADN, les ARN double brins, utilisés dans la majorité des vaccins contre la grippe saisonnière, pourraient intervenir de la même façon sur l’homme, comme sur les animaux. (voir le chapitre sur le vaccin contre la grippe)

De son temps, Georges Bernanos avait prévu ce qui nous arrivera si nous acceptons cet asservissement qu’on cherche à nous imposer et qui mènerait au « Nouvel Ordre Mondial » évoqué en 1991 par l’ancien Président américain, Georges Bush senior, et relancé avec les attentats du 11 septembre 2001 par son fils Georges W. Le Congrès des Etats-Unis n’a-t-il pas accordé les pleins pouvoirs au Gouvernement fédéral en votant l’USA Patriot Act le 26 octobre 2001 et en publiant la stratégie nationale de sécurité le 11 septembre 2002 avec The Model Emergency Health Powers Act, permettant d’exiger la vaccination pour tous les américains, tout refus étant considéré comme un délit.

Face aux méthodes de destruction de plus en plus efficaces qui finiront par rayer notre espèce de la planète, Georges Bernanos mettait déjà en avant, il y a un demi siècle, « la docilité, l’absence de responsabilité de l’homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public ».

L’obéissance aveugle n’est plus une vertu lorsque la confiance s’effondre. Elle devient alors la plus sournoise des tentations contre laquelle nous devons évidemment lutter. Car, en l’absence du rétablissement de la confiance et de réelles prises de conscience de nos autorités qui doivent impérativement se libérer de toute pression économico-politique, la docilité contagieuse de l’homme ira de pair avec le développement de nouvelles maladies émergentes qui finiront par détruire la planète et ses habitants.

À moins que le trop célèbre « responsable mais pas coupable » qui définit l’irresponsabilité du politique, ne génère, avec l’instinct de survie, la désobéissance civile. Dans le cadre du scandale du sang contaminé, que nos politiciens actuels semblent avoir bien vite oublié, André Glücksmann stigmatisait cette même désobéissance civile, « forme de responsabilité qui appelle à davantage de responsabilité ». Dans la dernière affaire des paillotes corses, le Premier ministre de l’époque, Lionel Jospin, avait à son tour évoqué cette désobéissance en déclarant : « le préfet et les gendarmes auraient dû désobéir à des ordres illégaux », sans toutefois préciser l’origine de ces ordres !

Devant la puissance financière des multinationales agro-alimentaires et pharmaceutiques et la persistance de leur mainmise sur la politique de santé et sur la gestion des crises sanitaires au niveau de l’OMS et des institutions sanitaires, sommes-nous condamnés à développer cette désobéissance civile ?

En suivant les conseils éclairés de la fable de Jean de la Fontaine, « le rat des villes et le rat des champs », que nos dirigeants semblent également méconnaître, nous pourrions retrouver, tel le rat des champs, le contact avec nos racines et la confiance perdue et restaurer ainsi la conscience et le bon sens institutionnels et individuels, tout en respectant la nature. Ces institutions doivent donc impérativement se libérer du joug des lobbies de l’industrie notamment tandis que l’homme doit retrouver le contact avec ses racines.

Comme le souligne Edgar Morin : « toute notre philosophie s’écroule, mais un être nouveau peut être procréé. Le vrai problème, le seul non technique, c’est celui du modèle d’homme ou plutôt de post hominien qu’il faut édifier. Ce modèle devra être la réalisation concrète de l’humanisme au moment où celui-ci tombe en miettes. »

Cet « humanisme » doit bien évidemment intégrer et même contaminer nos institutions manipulées par des experts inféodés à l’argent roi des multinationales pour lesquelles le marché prime sur tous et sur tout, sauf les indices boursiers…

Comme le disait fort justement Alexis Carrel, nous ne pourrons entreprendre la propre restauration de l’homme et celle de nos institutions, « sans avoir réformé notre mode de pensée » qui doit retrouver toute sa liberté d’expression aux antipodes de la pensée unique.
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Coordination d’associations, de médecins, de scientifiques, de juristes,

pour la recherche et l’information transparentes en matière de santé

3bis, rue Henri Faisans. 64 000 PAU. Tél : 05 47 41 50 22

cri-vie@neuf.fr



Le 14 juillet 2009



Madame Roselyne BACHELOT

Objet : Gestion des menaces de pandémies Ministre de la santé





Madame la Ministre,







Depuis mon dernier courrier en date du 6 juin dernier et resté sans réponse, le gouvernement dont vous êtes membre, aurait décidé de débloquer 700 millions d'euros pour acquérir 100 millions de doses de vaccins contre la grippe A(H1N1). Selon une information publiée par le site du quotidien Le Parisien, jeudi 9 juillet, le montant de ce marché, classé « secret défense », aurait été confirmé par Matignon, précisant que la décision avait été prise par la cellule de crise interministérielle placée sous l'autorité du premier ministre. Celle-ci a retenu les vaccins de quatre laboratoires lesquels auraient tous reçu l'autori­sation de mise sur le marché délivrée par l'Agence française des produits de santé.

Selon le Pr. Bruno Lina, directeur du Centre national de référence contre la grippe, « Il n'y a pas de différence majeure dans l'efficacité de ces diffé­rents vaccins. Les données scientifiques décri­vant leur composition nous permettent de considérer qu'ils sont très semblables », tandis qu’« Il est important d'avoir un vac­cin pédiatrique car les adjuvants (NDLR: ajouts) qui entrent dans la composition de certains vaccins adultes ne conviennent pas au système immunitaire des plus jeunes ».

Face à une possible mutation du virus, ce même expert affirme que « Le vaccin sera quand même efficace si le virus mute légèrement, ce qui est le plus vraisemblable. Dans ce cas, les produits adjuvants (ajoutés dans les vaccins) ont pour rôle de faire fabriquer à notre orga­nisme une grande quantité d'anticorps qui nous procurent des défenses contre différents virus de la grippe. Mais si le virus change beaucoup, ce vaccin ne servira à rien.

D’autre part, selon le sénateur Jean-Jacques Jegou qui a mené en décembre dernier une mission de contrôle de l’établissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires, « Deux ans après sa création, l'Epms n'a pas encore répondu aux attentes initiales. Les stocks (médicaments, masques, etc.) sont répartis sur 72 sites. Une partie est périmée »…

Plusieurs questions s’imposent pour lesquelles nous souhaitons obtenir des réponses :

1°) Comment l’Afssa pourrait-elle avoir déjà accordé l’AMM alors que l’OMS n’a fourni les souches que le 27 mai et que, seul Novartis aurait commencé les essais début juillet ?

2°) Comment, pour les mêmes raisons, le Pr. Lina peut-il déjà affirmer qu’il n'y a pas de différence majeure dans l'efficacité de ces diffé­rents vaccins ?

3°) Comment scientifiquement le même adjuvant pourrait-il convenir aux adultes et ne pas convenir aux enfants ?

4°) Comment ce même expert peut-il nous affirmer que devant des mutations légères, les adjuvants qui amplifient la réponse immunitaire pourraient permettre de produire des anticorps contre de nouvelles souches ? Quelles preuves scientifiques a-t-il ?

Que penser d’ailleurs de l’utilisation du MF59 qui déclenche des encéphalomyélites , lupus et arthrite chez les animaux ?

5°) Depuis novembre 2006, seuls 4 pays ont déclaré 150 contaminations humaines par le virus H5N1 avec une mortalité plus élevée en relation avec une résistance accrue au Tamiflu. Il s’agit de la Chine, du Vietnam, de l’Indonésie et de l’Egypte. Ces 4 pays vaccinent leurs poulets depuis 2006. Croyez-vous qu’il ne s’agit que d’une coïncidence alors que, dans son bulletin 31 de mars 2004, l’OMS reconnaissait elle-même qu’au Mexique et au Pakistan l’efficacité de la vaccination des volailles avait été très aléatoire ?



6°) Alors que la résistance au Tamiflu est observée dans 50% des cas en Europe dans la grippe usuelle et que des cas de résistance ont été signalés avec le virus H1N1, notamment au Danemark et à Hongkong, tandis que de plus en plus d’experts craignent que « le Tamiflu ne soit un médicament dépassé » qui favorise, de surcroît, résistance et mutation lors du constant phénomène de commutation, ne croyez-vous pas que la prudence s’impose ?

7°) Comment peut-on accorder une confiance aveugle dans les laboratoires alors que Novartis a dû remplacer un vaccin H5N1 en 2008 à la suite du décès de 21 SDF en Pologne et que Baxter a reconnu en février 2009 qu’un de ses vaccins contre la grippe usuelle H3N2 avait déclenché le décès de tous les furets à qui il avait été injecté (ce vaccin avait été malencontreusement contaminé par une souche H5N1 qui n’avait pas été initialement identifiée) ?

8°) Ne croyez-vous pas que l’utilisation du chlorure de magnésium mériterait d’être conseillée officiellement en remplacement du Tamiflu, source de résistances et de mutations, guère plus efficace qu’un placebo mais beaucoup plus toxique ?



Enfin, devant la multiplication des foyers d’origine inconnue (écoles primaires à Toulouse et Paris, colonie de vacances à Megève…), alors que le virus est actuellement peu virulent mais pourrait par mutation le devenir davantage à l’automne, et dans la mesure où la meilleure immunité est naturelle, ne croyez-vous pas que les personnes qui ont été contaminées lors de cette première flambée seraient mieux protégées ultérieurement ? Dans ces conditions, ne serait-il pas préférable de faciliter la contamination actuellement avec ce virus moins virulent que celui de la grippe saisonnière mais qui avec celle-ci, ainsi qu’avec la vaccination contre cette grippe saisonnière, sans oublier le Tamiflu trop facilement prescrit, pourrait muter et devenir particulièrement virulent dans quelques mois ?

Dans l’attente d’une réponse à ces questions comme à celle que vous a posée le sénateur Autain, et restant à votre disposition, je vous prie de croire, Madame la Ministre, à l’assurance de mes sentiments respectueux.













Christian RASSON Dr Marc VERCOUTERE

Pharmacien









N.B : Copie de ce courrier est adressé à Monsieur le Premier Ministre ainsi qu’aux ministres de l’intérieur et de la Défense.
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MessageSujet: Re: SRAS, GRIPPES A/H5N1, A/H1N1… DES PANDÉMIES PROVIDENTIELLES POUR LES LABOS   SRAS, GRIPPES A/H5N1, A/H1N1…  DES PANDÉMIES PROVIDENTIELLES POUR LES LABOS I_icon_minitimeDim 13 Sep - 4:27

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Coordination d’associations, de médecins, de scientifiques, de juristes,

pour la recherche et l’information transparentes en matière de santé

3bis, rue Henri Faisans. 64 000 PAU. Tél : 05 47 41 50 22

cri-vie@neuf.fr



Le 22 août 2009



Madame Roselyne BACHELOT

Ministre de la santé

Objet : Gestion des menaces de pandémies







Madame la Ministre,











Nous revenons à vous, Madame la Ministre pour obtenir les réponses aux questions posées précédemment dans nos courriers en date des 6 juin et 14 juillet derniers.



Nous souhaiterions être assurés que les vaccinations contre la grippe saisonnière et contre la pandémie H1N1, voire H5N1, ne seront en aucune façon rendue obligatoires pour toute ou partie de la population comme vient de le décider le gouvernement grec pour l’intégralité de sa population, citoyens et résidents sans exception, alors qu’en 1918-1919, la Grèce, qui avait refusé les vaccinations, avait été épargnée par la pandémie.



Nous souhaiterions également avoir la certitude que les français qui souhaiteraient recevoir les vaccinations saisonnière et pandémique seront régulièrement et objectivement informés du réel rapport bénéfice/risque de ces vaccins. Acte médical à part entière, toute vaccination doit en effet être précédée d’une information claire, loyale et appropriée. Or, comme vous le savez, l’information des médecins et de tous ceux qui réalisent la prescription est assurée essentiellement par les laboratoires qui ne fournissent qu’un à 10% de leurs données pharmacologiques aux autorités sanitaires. C’est pourquoi, en recommandant la vaccination saisonnière, le Gouvernement se doit vérifier la qualité de l’information reçue par les personnes à qui cette vaccination est proposée. Le document scientifique irréfutable sur « le réel rapport bénéfice/risque du vaccin contre la grippe » que vous trouverez annexé au présent courrier devrait donc être transmis à tous les prescripteurs ainsi qu’à tous ceux qui réalisent la prescription, à charge pour eux de la transmettre aux patients qui désirent se faire vacciner.



Concernant les vaccins pandémiques, nous aimerions aussi être assurés que les essais cliniques ne seront pas bâclés comme le craint le Journal Le Monde du 7 août dernier se référant à un éditorial du Lancet ou encore Le Daily Express du 14 août pour qui les enfants seront des cobayes.



Face aux critiques de plus en plus précises et documentées sur la prétendue efficacité du Tamiflu et sa tolérance émanant du Centre européen de contrôle des maladies infectieuses (Le Soir, du 5 août), The Lancet et The New England Journal of Medicine), tant pour les enfants que pour les adultes, envisagez-vous, Madame la Ministre, déconseiller son emploi et recommander, en remplacement, des remèdes comme le Chlorure de magnésium ou le dioxyde de Chlore par exemple voire encore « l’herbe de la St Jean » ?



Enfin, nous aimerions savoir s’il est vrai que « Selon les plans établis en 2005 pour le monde, y compris les USA, les gouvernements doivent être dissous en cas urgent de pandémie et remplacés par des comités spéciaux de crise. Ces comités prendront en charge la santé et assureront l'infrastructure en ce qui a trait à la sécurité du pays. Ces comités seront responsables devant l'OMS, l'Union Européenne, l'OMS et les Nations Unies en Amérique du Nord.... » ? (Déclaration de l'OMS, 2005)



Dans l’attente de réponses à l’ensemble de ces questions que se posent les citoyens, nous vous prions de croire, Madame la Ministre, à l’assurance de nos sentiments respectueux.















Christian RASSON Dr Marc VERCOUTERE

Pharmacien















Pièces jointes :

- Réel rapport bénéfice/risque sur le Tamiflu

- Réel rapport bénéfice/risque du vaccin contre la grippe saisonnière.

CRI-VIE

Coordination d’associations, de médecins, de scientifiques, de juristes,

pour la recherche et l’information transparentes en matière de santé

3bis, rue Henri Faisans. 64 000 PAU. Tél : 05 47 41 50 22

cri-vie@neuf.fr



Le 31 août 2009



Madame Roselyne BACHELOT

Ministre de la santé

Objet : Gestion des menaces de pandémies





Madame la Ministre,











Nous revenons à vous, Madame la Ministre pour obtenir les réponses aux questions posées précédemment dans nos courriers en date des 6 juin, 14 juillet et 22 août derniers .



Nous souhaiterions être totalement assurés que les vaccinations contre la grippe saisonnière et contre la pandémie H1N1, voire H5N1, ne seront en aucune façon rendue obligatoires pour toute ou partie de la population comme vient de le décider le gouvernement grec pour l’intégralité de sa population, citoyens et résidents sans exception, alors qu’en 1918-1919, la Grèce, qui avait refusé les vaccinations, avait été épargnée par la pandémie.

Or, devant la presse écrite, le préfet des Pyrénées-Atlantiques, Philippe Rey a dressé le vendredi 28 août un état des lieux de l’épidémie de grippe A dans le département. Si l’on en croit la presse, il aurait notamment déclaré que « pour des raisons évidentes, seront obligatoirement et systématiquement vaccinés : les professionnels de santé, les personnels des établissements scolaires et carcéraux. »

Qu’en est-il réellement ? Le vaccin « pandémique » serait-il le seul rendu obligatoire ? le vaccin saisonnier le serait-t-il également ?



Qu’elles soient imposées ou simplement recommandées, nous souhaitons avoir la certitude que les français qui recevraient les vaccinations saisonnière et pandémique seront régulièrement et objectivement informés du réel rapport bénéfice/risque de ces vaccins. Acte médical à part entière, toute vaccination doit en effet être précédée d’une information claire, loyale et appropriée. Or, comme vous le savez, l’information des médecins et de tous ceux qui réalisent la prescription est assurée essentiellement par les laboratoires qui ne fournissent qu’un à 10% de leurs données pharmacologiques aux autorités sanitaires. C’est pourquoi, en recommandant la vaccination saisonnière, le Gouvernement se doit vérifier la qualité de l’information reçue par les personnes à qui cette vaccination est proposée. Le document scientifique irréfutable sur « le réel rapport bénéfice/risque du vaccin contre la grippe » qui vous a été transmis précédemment devrait donc être transmis à tous les prescripteurs ainsi qu’à tous ceux qui réalisent la prescription, à charge pour eux de la transmettre aux patients qui désirent se faire vacciner.



Concernant les vaccins pandémiques, nous aimerions aussi être assurés que les essais cliniques ne seront pas bâclés comme le craint le quotidien Le Monde du 7 août dernier se référant à un éditorial du Lancet ou encore Le Daily Express du 14 août pour qui les enfants seront des cobayes (voir pièce jointe).

Quelle serait dès lors la position des compagnies d’assurances devant de tels vaccins dont les essais auront été bâclés et dont certains effets secondaires seraient insoupçonnés, accepteraient-ils de couvrir de tels risques ?



Puisque vous avez reçu les premiers lots de vaccins, nous aimerions également en connaître les compositions respectives et notamment le type d’adjuvant et de conservateur utilisés pour chacun d’entre eux.



Si nous nous référons par ailleurs à certaines définitions contradictoires retenues par l’OMS, nous aurions chaque année, avec la grippe saisonnière – et ce depuis de nombreuses années -, une pandémie aviaire dans l’hémisphère nord ainsi que dans l’hémisphère sud avec une mortalité parfois sensiblement plus élevée que l’actuelle « pandémie » H1N1 qui, selon certains experts particulièrement écoutés, évoluerait en deux phases avec une deuxième poussée à l’automne prochain beaucoup plus virulente.

Qu’a donc de plus la grippe porcine A/H1N1 d’avril 2009 pour être gérée de la sorte ?



Comment, en outre, les laboratoires Baxter, à qui la France a commandé dans un deuxième temps des vaccins, auraient-ils pu déposer, selon certaines sources, un brevet pour le vaccin contre le virus H1N1 dès le 28 août 2007 ?

Auraient-ils bénéficié d’une souche issue du séquençage réalisé en 2005 à partir de personnes décédées en 1918-1919 de la grippe « espagnole » ou au contraire des souches H1N1 présentes chez 30% des élevages de porcs ou chez 10% des vétérinaires américains en contact avec ces élevages ?



Enfin, nous aimerions savoir s’il est vrai que « Selon les plans établis en 2005 pour le monde, y compris les USA, les gouvernements doivent être dissous en cas urgent de pandémie et remplacés par des comités spéciaux de crise. Ces comités prendront en charge la santé et assureront l'infrastructure en ce qui a trait à la sécurité du pays. Ces comités seront responsables devant l'OMS, l'Union Européenne, l'OMS et les Nations Unies en Amérique du Nord.... » ? (Déclaration de l'OMS, 2005)



Dans l’attente de réponses claires à l’ensemble de ces questions que se posent les citoyens - et dont l’absence pourrait nous amener à saisir la justice avant que le scandale n’éclate - et restant à votre entière disposition, nous vous prions de croire, Madame la Ministre, à l’assurance de nos sentiments respectueux.





Christian RASSON Dr Marc VERCOUTERE

Pharmacien



P.S : Vous ne pouvez par ailleurs ignorer les questions judicieuses que vous ont posées le Sénateur Autain ou dernièrement l’euro-députée Rivasi ainsi que le doute légitime chez de plus en plus de médecins allemands, britanniques ou Chinois notamment sur la réelle efficacité de ce vaccin pandémique et son innocuité.



Pièce jointe : « Grippe A : des vaccins qui font peur »



Question écrite







Pertinence de la gestion des menaces pandémiques.





M. François Autain appelle l’attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur l’efficacité des décisions prises alors qu’une menace pandémique vient d’être déclarée. Celles-ci porteraient sur la constitution de doses du médicament antirétroviral Oseltamivir (Tamiflu®️) et de vaccins. Or, il note que le Tamiflu®️, mis sur le marché en 2004 alors que l’Organisation mondiale de la santé pressait les pays développés comme la France à constituer des réserves de ce médicament afin de pouvoir traiter au moins 25% de la population, n’a eu face au virus H5N1 aucune efficacité supplémentaire par rapport à un placebo. Plus grave, son administration a entraîné au Japon des mutations inquiétantes du virus. Aussi, alors que la menace potentielle de pandémie H1N1 a été reconnue à la fin du mois d’avril dernier, il constate qu’il n’a pas fallu plus de deux jours à l’Organisation mondiale de la santé pour affirmer que le Tamiflu®️ constituait un traitement efficace. Cette information était visiblement prématurée si l’on considère les déclarations de la directrice d’une unité de recherches de l’Institut Pasteur qui a précisé au début du mois de juin qu’un autre virus H1N1 était majoritairement résistant au Tamiflu®️. Au même moment, il a appris par voie de presse que le gouvernement songeait à mettre en place une campagne de vaccination contre la grippe H1N1 pour un coût total d’un milliard d’euros. Il est surpris de ce choix dans la mesure où les campagnes de vaccination préventive, menées dans des pays comme la Chine, l’Indonésie, le Vietnam ou l’Egypte pour se prémunir du virus H5N1, se sont soldées par un échec puisqu’elles n’ont pas permis la maîtrise de la grippe aviaire tant chez les volailles que les hommes. En outre, il lui rappelle que la survenue de nouvelles pandémies n’est pas une surprise pour les professionnels de la santé publique : les conditions d’élevage intensif y participent et c’est la raison pour laquelle l’American Health Public Association a appelé en 2003 à un moratoire sur les élevages industriels. Il est dans ce contexte notable que le premier cas de grippe H1N1 a été observé chez un enfant au Mexique habitant à proximité d’une porcherie produisant près d’un million de porcs par an. Dans ces conditions, il souhaite savoir ce qu’elle compte mettre en œuvre afin de permettre une lutte efficace contre la survenue des pandémies et si, dans la mesure où elle opterait in fine pour une double campagne de vaccination contre la grippe saisonnière d’une part et la grippe H1N1 de l’autre, elle estime nécessaire et possible de faire mener au préalable des études bénéfices/risques sérieuses, sachant que ce type de vaccins n’ont jamais fait la preuve de leur efficacité pour la grippe saisonnière et que de telles vaccinations, via le phénomène de commutation, peuvent favoriser la sélection de virus plus virulents et plus agressifs.
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MessageSujet: Re: SRAS, GRIPPES A/H5N1, A/H1N1… DES PANDÉMIES PROVIDENTIELLES POUR LES LABOS   SRAS, GRIPPES A/H5N1, A/H1N1…  DES PANDÉMIES PROVIDENTIELLES POUR LES LABOS I_icon_minitimeDim 13 Sep - 4:28

La grippe porcine du « Président Gérald Ford » de 1976.




Cette « épidémie » de grippe de type H1N1, comme la « grippe espagnole », mérite d’être analysée non par son ampleur – elle se limita à 230 personnes dont un seul décès – mais par les conséquences de la psychose orchestrée par les autorités américaines à des fins électorales, aboutissant à une campagne massive de vaccination qui, au bout de deux mois, sera suspendue suite à la survenue d’accidents graves.

En février 1976, une jeune recrue de l’armée américaine, David Lewis, fraîchement vacciné, passe à l’infirmerie de Fort Dix dans le New Jersey en se plaignant d'un état grippal. Il passe outre les recommandations du médecin et part en manœuvres pour s'écrouler et mourir avant d'arriver à l’hôpital. L'autopsie du jeune homme révèlera qu'il est mort des suites d'une grippe ressemblant fort à celle de la grippe espagnole. 230 personnes du camp militaire sont atteintes du même mal, mais s'en sortent sans le moindre problème ni complication.

La psychose peut toutefois s’installer. Malgré les avis modérateurs de certains experts internationaux, tel le professeur Hannoun de l’Institut Pasteur, directeur à l’époque du Centre National de la grippe, qui avaient signalé quelques cas isolés de grippe H1N1 en 1974 et 1976, les autorités américaines – et les laboratoires français - se disent prêts à constituer un stock de vaccins suffisant en trois mois pour vacciner toutes les populations nord-américaine et française !

Alors que les déclarations alarmistes des experts annoncent 4 millions de morts aux Etats-Unis lors du prochain hiver, les laboratoires pharmaceutiques américains, une fois n’est pas coutume, ne semblent pas favorables à la mise en route d’une campagne de vaccination nationale. Il est vrai que, dans la législation nord-américaine, les accidents apparaissant après commercialisation des vaccins leur sont directement imputables. Toute vaccination comporte en effet un risque qu’il est pourtant difficile de faire reconnaître par les victimes qui doivent souvent s’engager dans de longues et coûteuses procédures. Ce fut ainsi le cas d’une jeune française devenue invalide à 100% à la suite de la vaccination obligatoire contre la variole réalisée le 4 mai 1960. Vingt-huit ans plus tard, en 1988, le Conseil d’Etat condamna enfin l’Etat français à lui verser une indemnité d’un million neuf cent vingt-cinq mille francs ! (Le Provencal, 17 juin 1988)

Survient alors, fin juillet 1976, une maladie mystérieuse atteignant une centaine d’anciens combattants participant au Congrès de l’American Légion à Philadelphie. Vingt et un d’entre eux meurent rapidement, avec des symptômes pouvant être assimilés à ceux de la grippe : douleurs dans la poitrine, fièvre élevée, frissons...

Si les recherches mises en route immédiatement ne permettent à aucun moment de déceler la présence du virus de la grippe porcine, l’amalgame avec l’épidémie de Fort Dix est établi dans l’esprit des autorités relayées par les médias. On aura beau attribuer, fin août, cette maladie des anciens combattants à une intoxication par un produit entrant dans la composition de certaines matières plastiques, le nickel carbonyle, la psychose de la grippe porcine se développe tous azimuts.

Les premiers essais de vaccins sont mis en route au début de l'été, sous la direction du Dr Anthony Morris pour la Food and Drug Administration (FDA). Mais, contrairement au Dr Théodore Cooper, secrétaire d'Etat à la Santé, qui avançait une efficacité duvaccin de l’ordre de 80%, le Dr Morris signale que le futur vaccin n'aura une efficacité que de 20% seulement, mettant en garde le

Gouvernement contre les risques de complications particulièrement graves que pourrait entraîner ce vaccin : « Inhalé par des animaux de laboratoires, ce vaccin tend à provoquer des tumeurs cancéreuses (…) certains composants du vaccin constituent une menace sérieuse de lésions fétales chez les femmes qui pourraient être enceintes… »

Aurora Reich, directrice de la communication scientifique, rapporte dans l’Indianapolis Star que « le virus du vaccin a des propriétés toxiques, même après avoir été tué, pouvant entraîner fièvre et convulsions, particulièrement chez les enfants ». Le Journal of Pediatrics relate une étude menée conjointement par des médecins d’Atlanta et de Sheffield en Angleterre dont les conclusions sont sans appel : « Même purifié, le vaccin tué est trop toxique pour être donné aux enfants ». D’autres études menées avant commercialisation montrent qu’environ 10% des personnes vaccinées ont eu des convulsions et qu’il y a eu au moins un décès. Comme le signale fort justement l’un de ces médecins, il faut donc craindre 900 000 convulsions aux Etats-Unis avec ce vaccin puisqu’il y a 9 millions d’enfants de moins de trois ans. « La vaccination de routine des enfants n’a d’ailleurs pas été recommandée par The Public Health Service (le service de santé publique américain) ».

Beaucoup de médecins américains alertés par ce tapage médiatique, émettront des avis publics très défavorables ; les décès inévitables, l'efficacité très discutable, les risques chez les femmes enceintes et les personnes allergiques leur apparaissent fort préoccupants... Des réactions contraires sont même prévisibles dans le meilleur des cas chez 15% des adultes et 30 à 70% des enfants !

Le Dr Morton Goldfeld, du Département de Santé du New Jersey ‑ qui a le premier isolé le virus de Fort Dix -, pense que le danger d'une épidémie est loin d'être démontré, et que les effets secondaires d'une telle vaccination massive, particulièrement chez les enfants, pourraient l’emporter largement sur le danger de l’émergence d’une nouvelle souche de virus grippal. Le Dr Pascal Imperato, du Département de la Santé de la ville de New‑York, émet publiquement les mêmes doutes, comme bien d’autres médecins...

Rien n’y fait. La campagne de publicité en faveur de la vaccination atteint des niveaux records, devenant même un argument dans la campagne électorale pour la réélection du Président Ford. Il est en effet question de vacciner l’ensemble de la population américaine. Le gouvernement tente alors d'acheter le silence du Dr Morris en lui proposant une rente annuelle de 17 000 $. Ayant refusé, le Dr Morris est limogé le 16 juillet. Tous les animaux sur lesquels il avait travaillé pour étudier les effets à long terme du vaccin sont détruits, en particulier des centaines de souris, cochons d'Inde, hamsters, canards, poulets… (Spotlight, 27 septembre 1976 et La Revue Hygiéniste Américaine, janvier 1977)

La mise à l’écart du Dr Morris est suivie d'une sombre magouille politico‑scientifique. Il est remplacé par un « savant privé », soutenu par les professeurs Sabin et Salk, à l’origine des vaccins antipoliomyélitiques. Comme le virus ne se développe pas assez vite sur l'œuf embryonné, ce savant poursuit directement les expérimentations sur l’homme. Dans un premier temps, il inocule ainsi un « super virus » à 5 200 volontaires. Ayant observé l’apparition d'anticorps, sans se préoccuper de savoir si ces derniers étaient spécifiques et efficaces contre la grippe, le vaccin est commercialisé.

Le 12 août 1976, le Président Gérald Ford signe la loi autorisant la vaccination massive de la population. Un crédit de 135 millions de dollars est débloqué pour lancer le programme, et surtout, le gouvernement fédéral endossera la responsabilité de toutes les poursuites judiciaires pouvant résulter des conséquences vaccinales puisque les laboratoires ne veulent pas assumer ce risque.

Les premières injections déclenchent des réactions fébriles très vite alarmantes chez 10% des adultes et 20% des enfants. Quinze décès sont enregistrés à la mi‑octobre 1976.

Le professeur Sabin revient alors sur son soutien sans réserve de la campagne vaccinale et déclare qu’il ne faut plus vacciner toute la population. Mais le Président Ford est déjà en campagne électorale et déclare publiquement à la Maison-Blanche qu’il va se faire vacciner pour démontrer l’innocuité du vaccin. Quelques décennies plus tard, le Président G.W. Bush se fera vacciner dans les mêmes conditions contre la variole, suivi cinq ans plus tard par le ministre israélien de la santé après le décès de quatre personnes vaccinées contre la grippe en octobre 2006…

Dans les suites immédiates de cette vaccination, un nombre de cas de plus en plus important de paralysie générale de type Guillain Barré est signalé. Cette maladie est assez comparable à la sclérose en plaques (dont la fréquence s’était accrue par ailleurs avec la vaccination contre l’hépatite B). Alors qu’une centaine de cas de paralysie sont recensés, la campagne nationale de vaccination sera officiellement suspendue, le 16 décembre, après avoir été administrée à plus de 40 millions d’Américains.

Concomitamment, le Los Angeles Times du 3 décembre 1976, reprend en gros titre une dépêche d’Agence de presse sur une proposition d’augmentation du budget fédéral d’un montant de 129 millions de dollars. « Le Président Ford fixera les barèmes des salaires qu’il souhaite recommander dans le budget qui sera soumis le mois prochain. À moins que les députés et sénateurs ne tuent ce projet. (Mais ont-ils envie de réduire une augmentation de leurs salaires ?). Les membres de la Chambre et du Sénat recevront annuellement 57 000 $ au lieu des 44 600 $ actuels (…) Une autre dépêche d’Agence nous apprend que la plupart des membres du Congrès sont des avocats d’affaires toujours prêts à servir des intérêts privés. Le vote de 135 millions de dollars d’impôts pour soutenir un racket médical privé (le vaccin contre la grippe porcine) semble indiquer qu’ils travaillent en réalité pour des intérêts externes, et non pour le bien du peuple qui les a élus. La même dépêche d’agence dit que : La commission (pour augmenter les salaires) a indiqué clairement qu’elle espérait lier cette augmentation de salaires à un code de conduite plus strict concernant les revenus extérieurs et les liens d’intérêts obtenus. »



Cela signifierait-il, comme le souligne trente ans plus tard le Dr. Lorraine Day, ancien professeur et chef de service des urgences orthopédiques au San Francisco General Hospital, qu’ « avec cette augmentation importante de salaire, les membres du Congrès s’engagent à dire toute la vérité sur leurs éventuels liens d’intérêt et les extras qui leur sont payés pour balancer les affaires en leur faveur ?

De tels élus ne devraient recevoir aucune augmentation. Ils devraient être destitués, condamnés à une peine de prison avec confiscation des dessous de table qu’ils ont perçus ».



Le 2 janvier 1977, le « National Inquirer » accusa les autorités sanitaires, le gouvernement et les savants d’avoir passé sous silence les risques évidents et connus du vaccin et de s’être montrés d’une négligence coupable dans les essais préalables. Les experts de ce journal pensent que les 197 cas de paralysie de Guillain Barré et les 100 décès pourraient bien n’être que la partie émergée de l’iceberg. D’autres complications multiples sont en effet apparues à type d’encéphalites, de maladie de Parkinson, de troubles rhumatismaux, de maladies cutanées, d’asthme…

De leur côté, les rapports d’initiés indiquent, selon William Sargen biologiste de la marine américaine, que Donald Rumsfeld orchestra ce fiasco sanitaire pour « stimuler la campagne de réélection du Président Ford ».



Trente ans plus tard, peut-on « raisonnablement » imaginer, l’orchestration d’une psychose comparable à l’échelon mondial pour des intérêts politiques et économiques ?





Extraits du livre : « Crise aviaire ou la culture du mensonge »

Dr Marc VERCOUTERE

Editions De Guibert, 2007







« Grippe : des vaccins qui font peur »



Médecin et journaliste depuis 30 ans, Jean-Yves Nau n’y va pas avec le dos de la cuiller. Sous ce titre accrocheur, son article du 7 août dernier dans le très sérieux Le Monde, ironise : « C'est juré. Croix de bois, croix de fer : les futurs vaccins antipandémiques seront d'une qualité irréprochable; nous n'avons aucune raison de nous inquiéter sur ce point. L'OMS vient de nous assurer que l'urgence pandémique ne changerait rien à l'affaire: les très rigoureuses procédures réglementaires d'approbation des vaccins en cours de production contre le A(H1N1) ne seront pas allégées. Priorité à l'efficacité et, plus encore peut-être, à l'innocuité. Mais au fait, pourquoi devrions-nous nous inquiéter. Une fois de plus ce sont les «médias» et leurs «craintes» qui ont poussé l'organisation sanitaire onusienne à prendre la parole pour, autant que faire se peut, calmer le jeu. ».

Le journaliste se réfère à un article de la très sérieuse revue médicale The Lancet paru quelques jours plus tôt.

Dans un éditorial aussi court que solennel, le journal scientifique tiré la sonnette d'alarme et met en garde les responsables sanitaires des pays qui souhaitent assouplir les procédures réglementaires de manière à disposer au plus vite des premières doses vaccinales. Un tel assouplissement équivaudrait immanquablement à exposer les populations concernées à des risques nullement négligeables de complications post-vaccinales. The Lancet rappelle qu'une campagne accélérée de vaccination de masse pratiquée en 1976 aux Etats-Unis l'a malheureusement démontré. Et le célèbre hebdomadaire médical britannique de plaider en faveur d'une surveillance étroite des possibles effets secondaires de la future vaccination de masse qui va être entreprise à l'échelon planétaire.

Dans le Journal du Dimanche du 26 juillet, Bruno Marchou, chef de service, chef de service des maladies infectieuses au CHU de Toulouse, redoute, pour sa part, une vague de procès contre l’Etat et les labos si la vaccination étaient généralisée et massive. « On aura quelques dizaines de milliers de cas avec des pathologies imputées à tort ou à raison au vaccin, comme on a eu la sclérose en plaques avec celui de l’hépatite B ». Ajoutons, ce que laisse supposer ce professeur, que le nombre de scléroses en plaques est passé de 20 000 en 1994 à plus de 80 000 en 2006 avec la vaccination de plus de vingt-cinq millions de français… Coïncidence, après dix ans de procédure, le laboratoire GlaxoSmithKline vient d’être reconnu responsable de la survenue chez une jeune fille de 16 ans d’une sclérose en plaques quelques mois après la dernière injection du vaccin anti-hépatite B.

Dans une note publiée sur son site internet, l’OMS se veut rassurante : « Le public doit être assuré que les procédures en place pour l'attribution d'une licence aux vaccins contre la pandémie sont rigoureuses et ne compromettent pas la sécurité et la qualité des contrôles ». Et le même site décrit, dans un « indigeste jargon réglementaire », selon Jean-Yves Nau, les différentes étapes de l'élaboration et de la certification des vaccins antigrippaux en général et donc, en l'occurrence, de celui antipandémique à venir. « Chaque pays a sa propre réglementation et son organisme responsable dans ce domaine, explique l'OMS. Si le vaccin est préparé en suivant le même processus que les vaccins antigrippaux saisonniers, dans les mêmes usines, cela peut être très rapide (un à deux jours). Dans certains pays, les organismes de réglementation imposent des essais cliniques avant d'homologuer le vaccin, ce qui ajoute un délai supplémentaire avant que le vaccin puisse être disponible. Dans le meilleur des cas, l'ensemble du processus peut être achevé en cinq à six mois. Les premiers vaccins contre la grippe pandémique peuvent alors être distribués et administrés.»

Si on compte bien, la livraison des souches aux laboratoires ayant eu lieu le 27 mai, les premières livraisons de vaccins ne pourraient être effectuées avant novembre- décembre 2009, si tout se passe bien…

Devant la volonté acharnée de nombreux gouvernements de pays industriels de disposer au plus vite de quantités massives de doses vaccinales anti -A(H1N1) et la compétition acharnée à laquelle se livrent les quelques multinationales spécialisées qui achèvent dans le même temps la production du vaccin contre la future grippe saisonnière, certaines proczédures risquent d’être bâclées.

On en arrive ainsi à ce que redoute The Lancet : faire l'économie de certaines procédures visant à étudier dans le calme l'efficacité et l'innocuité de cette arme préventive qui va être administrée à des centaines de millions de personnes. L'argument généralement avancé pour justifier cette initiative est que l'on dispose d'une très bonne et très longue expérience avec les vaccins de la grippe saisonnière...

Le Dr Marie-Paule Kieny, directrice de la recherche sur les vaccins à l'OMS, signale ainsi que les premiers résultats des essais devraient être connus « au cours de la première quinzaine de septembre », les premières vaccinations pouvant alors être pratiquées vers la fin septembre. Soit plus d’un mois avant le délai normal. La responsable de l'OMS a toutefois confirmé une information qui circulait jusqu'ici dans les milieux spécialisés : le rendement des premières souches virales utilisées pour la production vaccinale est inférieur à celui des virus de la grippe saisonnière, ce qui pourrait réduire significativement les volumes de production. Les fabricants avaient eu le même problème avec le virus H5N1, plus de deux ans avaient été nécessaires pour élaborer un vaccin dont celui de Novartis qui avait dû être retiré du commerce après le décès malencontreux de 21 « SDF » allemands en août 2008.

Comme à son habitude, l'OMS souffle le chaud et le froid. Le Dr Kieny insiste sur le fait que les effets secondaires graves de vaccins contre la grippe saisonnière sont en général « très rares» tandis que son organisation reconnaît que les contraintes de temps font que les données cliniques seront inévitablement limitées quand les premiers vaccins contre la pandémie seront administrés. « Pour le dire autrement, comme le signale Jean-Yves Nau, on sait d'ores et déjà que les premiers lots vaccinaux auront inévitablement un caractère quelque peu expérimental. C'est pourquoi, en écho à l'éditorial du Lancet, l'OMS conseille à tous les pays lançant des campagnes vaccinales d'organiser une « surveillance intensive sur la sécurité et l'efficacité ».

Les essais cliniques en Grande-Bretagne n’échappent pas à cette précipitation, raison pour laquelle le Daily Express du 14 août en a conclu que les enfants serviraient de cobayes. Le service de la santé britannique a en effet confirmé qu'aucun des 900 enfants participant aux essais vaccinaux avait moins de trois ans alors que les bébés avec des problèmes de santé seraient les premiers à être vaccinés. Un porte-parole a reconnu que « Les tests cliniques seront conduits aussi vite comme possible mais les groupes prioritaires commenceront à recevoir le vaccin après qu'il soit autorisé mais avant la fin des essais cliniques. »

C'est dans ce climat de suspicion que la multinationale américaine Baxter a annoncé le 5 août, être en tête de cette course contre-la-montre hors du commun. Baxter assure avoir terminé fin juillet la production de ses premiers lots de vaccins et dit ne plus attendre que les premières autorisations de mise sur le marché. La firme serait déjà en discussion avec les autorités sanitaires américaines, lesquelles ont recommandé, fin juillet, que les enfants et les femmes enceintes figurent parmi les quelque 160 millions de personnes aux Etats-Unis qui doivent être vaccinées en priorité cet automne.

Cette décision a été prise après une réunion d'urgence des Centres de contrôle et prévention des maladies (CDC) consacrée à la lutte contre la résurgence du A(H1N1). Cinq groupes de population (soit 160 millions de personnes, plus d'un Américain sur deux) sont considérés comme étant à risque ou exposé à des complications. « Cela inclut les femmes enceintes, les adultes en contact avec des enfants de moins de six mois, le personnel de santé, les enfants et les jeunes âgés de 6 mois à 24 ans et les adultes fragiles » a précisé Anne Schuchat, directrice du centre des immunisations des CDC.

Oubliés les soucis de février 2009 avec la contamination accidentelle de lots vaccinaux par le virus H5N1, douze semaines auront donc suffi à Baxter pour produire son vaccin après réception de la souche virale fin mai. Plus de 3.500 personnes l'auraient déjà reçu dans le cadre d'une étude de phase III, la dernière avant la demande d'autorisation de mise sur le marché. D'autres essais cliniques complémentaires sont prévus en août sur des adultes, des enfants et des personnes âgées.

Si Baxter est en tête, le géant suisse Novartis n'est pas loin. Il assure avoir commencé à administrer son propre vaccin dans le cadre de premiers tests qui concerneront au total 6.000 personnes en Grande-Bretagne, en Allemagne et aux Etats-Unis. Comme le rappelle Jean-Yves Nau, « Paradoxe des paradoxes : ces essais cliniques sont prévus pour durer un an mais le vaccin devrait toutefois être commercialisé avant qu'ils arrivent à leur terme. »

Quant à Sanofi-Pasteur, la filiale vaccins de la multinationale française Sanofi-Aventis, elle a fait savoir le 7 août qu'elle avait débuté la veille aux Etats-Unis et en Europe des essais cliniques sur un peu plus de 2.000 personnes. Un dossier d'enregistrement a été déposé auprès des autorités sanitaires américaines qui font tout pour faciliter le choses dans ce domaine. En Europe, où la procédure est différente, Sanofi Pasteur n'a pas encore déposé de dossier auprès de l'Agence européenne du médicament (EMEA). Enfin, la veille de l'annonce de Baxter un autre géant, britannique, GlaxoSmithKline, annonçait avoir reçu des nouvelles demandes de la part de neuf pays, portant son carnet de commandes à 291 millions de doses.

Il est bon de préciser que si Baxter et SKB ont pris un peu d’avance, c’est pour la simple raison qu’ils fait appel à des lignées cellulaires notamment sur cellules de rein de chien, voire de singe, occultant tout risque de contamination comme ce fut le cas dans les années 1950 avec le vaccin contre la polio et le rétrovirus simien SV40.

Bien entendu, les effets secondaires des adjuvants ne sont pas encore envisagés dans la presse. Face à une possible mutation du virus, le Pr Bruno LINA, directeur du Centre national de référence de la grippe, affirme même que « Le vaccin sera quand même efficace si le virus mute légèrement, ce qui est le plus vrai semblable. Dans ce cas, les produits adjuvants (ajoutés dans les vaccins) ont pour rôle de faire fabriquer à notre organisme une grande quantité d'anticorps qui nous procurent des défenses contre différents virus de la grippe. Mais si le virus change beaucoup, ce vaccin ne servira à rien. »





Dr Marc VERCOUTERE

Août 2009[b]
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LE TAMIFLU : UN BIENFAIT HYPOTHÉTIQUE

DES EFFETS TOXIQUES CERTAINS



« En s’appuyant sur nos recherches et nos brevets », comme le souligne Peter Colman, un petit laboratoire californien de biotechnologies, Gilead Sciences, dirigé par Donald Rumsfeldt, mit au point l’oseltamivir en 1994.

Un moment soupçonné d’avoir manipulé le dossier d’accréditation, Gilead Science, pouvant à peine financer sa recherche, était incapable d’assurer le développement industriel et commercial de sa molécule. Il céda donc, en 1996, sa licence d’exploitation et de commercialisation au géant pharmaceutique Roche, pour 50 millions de dollars et des royalties comprises entre 12 et 20% sur les ventes de l’oseltamivir, rebaptisé Tamiflu®️.

Alors qu’il avait obtenu les autorisations nécessaires dans 64 pays occidentaux, Roche ne diffusera dès lors sa molécule que dans 24 pays, ce que lui sera d’ailleurs reproché ultérieurement par Gilead.

En fait, aucune campagne de communication et de marketing ne fut lancée, pour la raison évidente que les études scientifiques ne plaidaient pas en faveur de son utilisation contre la grippe humaine : il ne permettait en effet, dans le meilleur des cas, de réduire que d’une seule journée la durée de la grippe, en étant pris dès le début des symptômes, sans réduire pour autant la fréquence des complications.

Il se murmura même dans les salons de l’industrie pharmaceutique mondiale, que le laboratoire Roche pensait à le retirer du marché.



Un soupçon plus efficace qu’un placebo pour la grippe humaine ?



Dès 1999, l’Antiviral Drug Products Advisory Commitee (ADPAC) avait déjà vainement recommandé à une très large majorité, que le Tamiflu®️ et son concurrent le Relanza®️, ne soient pas approuvés par la FDA, en raison de leur faible efficacité, et de leur coût très élevé (100 $ le traitement !).

Deux ans plus tard, deux rapports de l’Office canadien de coordination de l’évaluation des technologies de la santé (OCCETS), confirmèrent en tous points l’expertise de l’ADPAC. Parmi 117 sources de référence, les auteurs de l’étude retinrent six essais cliniques, menés durant la période de pointe de la saison grippale entre 1997 et 1999. 1735 personnes, dont 469 dites « à risques de subir des complications », participèrent à cette étude en double-aveugle, placebo contre Tamiflu®️.

Cette méta-analyse ne démontre pas de réduction statistiquement significative des taux d'hospitalisation et de mortalité chez les participants traités par l'oseltamivir, par rapport aux participants sous placebo. Les auteurs sont arrivés aux mêmes conclusions concernant les complications comme l’otite, la sinusite, la bronchite ou la pneumonie. Seule la reprise de l’activité est légèrement plus rapide avec le Tamiflu®️, tandis que, à l’inverse, les effets secondaires seraient légèrement plus élevés avec le placebo !

Un seul cas de résistance au Tamiflu®️ fut signalé sur 175 prélèvements. Un rapport sommaire de la FDA ne laissait cependant aucun doute sur les cas de résistance, qui ne seraient pas tous signalés. Une autre étude, réalisée par l’OCCETS en janvier 2001, concernant le Zanamivir, en arriva aux mêmes conclusions. Selon l’un des auteurs du rapport, Bruce Brady, économiste de la santé: « Pour un régime gouvernemental d'assurance-maladie, il en coûterait plus cher pour distribuer du Zanamivir ou de l’Oseltamivir à toute la population, que les avantages qui en découleraient ».

La newsletter suisse Infomed/Pharmakritik ne sera pas plus tendre avec le Tamiflu®️ : « Sur la base des connaissances actuelles, il n’existe aucun groupe bien défini de malades de la grippe auxquels on puisse conseiller un traitement à base d’Oseltamivir (Tamiflu®️) ».

La revue Prescrire – seule revue médicale indépendante en France – sera aussi catégorique : « A part les effets collatéraux, on ne comprend pas ce qu’il ajoute à la thérapie symptomatique traditionnelle ».

Roche profitera pourtant de l’émergence de la grippe aviaire pour faire associer son antiviral au plan de lutte qu’a voulu instaurer l’OMS contre la menace hypothétique de pandémie humaine H5N1 en 2004 puis H1N1 en avril 2009.

Des tests effectués sur … vingt rats de laboratoires, dont les conclusions furent communiquées à l’OMS en janvier 2004, vont redorer l’image ternie du Tamiflu®️. Alors que les dix rats traités avec un autre antiviral sont morts, deux des dix autres rats infectés par le virus H5N1 ont survécu… Ces tests auraient été répétés à plusieurs reprises pour des résultats comparables !

Chez l’homme contaminé par le H5N1, les résultats seront cependant inversés : deux vietnamiens sur 10 furent sauvés avec le placebo là où avec le Tamiflu la mortalité atteignit 100% !





« Faut-il avoir peur du Tamiflu ? » (La Une du Soir du 5 août 2009)



- Le laboratoire Roche signale dans sa feuille de renseignements, chez une minorité d’utilisateurs, des nausées, vomissements et diarrhées, se manifestant habituellement après la première dose et dont l’incidence peut être réduite par l’absorption du Tamiflu®️ avec la nourriture. « Des effets plus graves ont été signalés, mais aucun test n’a révélé que le médicament en était la cause » ! Sa responsabilité n’ayant pas été recherchée, le Tamiflu n’est donc pas, dans l’éthique commerciale de Roche, responsable de ces effets plus graves !

Tandis que le Relanza®️ est contre-indiqué avant l’âge de 16 ans, le Tamiflu®️ l’est avant l’âge d’un an ; des études chez le jeune rat ayant montré qu’à des doses importantes, le Tamiflu®️ se retrouvait dans le cerveau, avec une mortalité importante !

Cette sécurité du Tamiflu®️ n’est donc qu’illusoire.

- Dans un souci de transparence – quelque peu tardif – Chagaï Pharmaceutical Co. reconnaîtra, en Novembre 2005, avoir répertorié au Japon, depuis 2001, au moins 21 morts par suicide chez les plus de 16 ans sous Tamiflu®️, ainsi que 13 décès d’enfants de moins de 16 ans entre mars 2004 et avril 2005. Rokuro Hama, président de l’Institut de pharmacovigilance japonais, en fit pourtant régulièrement état dans tous les congrès auquel il participa. Il rapporta également dans le British Medical Journal, que ces 13 décès étaient rapportés à la mort subite (4 cas), défaillance cardio-vasculaire (4 cas), suicide (1), pneumonie (1), asphyxie (1), perte de connaissance (1) et pancréatite aiguë (1). Il cita en outre trois études de laboratoire où « l’administration d’Oseltamivir à des bébés rats en provoqua la mort par insuffisance respiratoire ».

À la suite de ces tardives révélations, le titre du laboratoire Roche perdra 2% à la Bourse. Face à ces effets secondaires, dont la sous-notification est habituelle, seuls les analystes boursiers monteront au créneau, pour prendre la défense du Tamiflu®️. Ces derniers ont « le sentiment que les préoccupations qui sont nées de ces déclarations sont exagérées, le lien de cause à effet apparaissant ici bien mince. Les cas d'encéphalite épidémique sont courants au Japon et il se peut que le comportement dangereux des adolescents – qui se sont suicidés – soit dû au virus ». Ces analystes se garderont bien de rappeler que le Tamiflu®️ pénètre dans le cerveau des jeunes rats, entraînant une encéphalite mortelle.

- En novembre 2006, la FDA reconnaîtra à son tour avoir reçu 103 rapports, principalement du Japon,

faisant état de problèmes psychiatriques à type de délires, hallucinations et autres troubles mentaux inhabituels, chez des enfants soignés au Tamiflu®️.

- Contrairement aux déclarations du laboratoire Roche pour qui les effets secondaires n’apparaîtraient que chez une minorité d’utilisateurs, le Centre européen de contrôle des maladies infectieuses vient de révéler que cet antiviral miracle avait causé d’importants effets secondaires chez la moitié des enfants exposés à la grippe H1N1 en Angleterre. Fin avril 2009, à la suite de la contamination par le virus H1N1 d’un enfant britannique revenu de Cancun au Mexique, les 266 enfants de l’école qui avait été fermée avaient reçu du Tamiflu. 31% d’entre eux se sont sentis malades, 24% ont eu des maux de tête et 21% des maux d’estomac, 17% se sont sentis fatigués, 11% ont vomi, 8% ont éprouvé des difficultés à se concentrer et 7% ont été victimes de diarrhée.

- Le Tamiflu, largement prescrit depuis le 26 avril 2009 selon les recommandations de l’OMS, n’est donc pas parvenu à endiguer la contagion. De plus, alors que dans la grippe saisonnière il était déjà responsable de 50% de résistances en 2008, celles-ci se manifestent, avec le virus H1N1, un peu partout au Danemark, aux USA, en Asie, au Canada, au Japon ou encore à Hongkong en 2009.

- En raison du constant phénomène de commutation par lequel toute bactérie ou virus mort voit son bagage génétique être reprit par les bactéries ou virus voisins, cet antiviral peut donc favoriser la sélection d’un virus plus virulent et plus agressif chez les porteurs sains comme chez les personnes contaminées.





Christian RASSON, pharmacien Dr Marc VERCOUTERE



CRI-VIE

Coordination d’associations, de médecins, de scientifiques, de juristes,

pour la recherche et l’information transparentes en matière de santé

cri-vie@neuf.fr



SOCIÉTÉ 25/06/2009 À 17H54

Le labo GSK reconnu

Responsable d'une sclérose en plaques

INFO LIBÉ

Le laboratoire pharmaceutique a été reconnu responsable de la sclérose en plaques d'une adolescente, survenue après sa vaccination contre l'hépatite B.

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FLORENT LATRIVE



Vaccination (ici contre la grippe). (Alix Guigon / AFP)

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C'est une victoire pour tous ceux qui cherchent à faire établir en justice le lien entre la vaccination contre l'hépatite B et la sclérose en plaques. Après plus de dix ans de procédure, le laboratoire pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK) vient d'être reconnu «entièrement responsable» pour la sclérose en plaques diagnostiquée chez une adolescente en 1998, quelques mois après sa dernière injection du vaccin Engerix B contre l'hépatite B.

La décision du Tribunal de Grande Instance de Nanterre, en date du 12 juin et révélée aujourd'hui par Libération, condamne GSK a verser 396.000 euros de dommages-intérêts à la jeune femme, aujourd'hui âgée de 27 ans.

Cette décision est une première depuis un arrêt de la Cour de Cassation de 2003 indiquant que le lien entre la vaccination et la sclérose en plaques ne pouvait être établi.

L'histoire débute en 1994, quand Camille (1), alors âgée de 12 ans, reçoit une première injection d'un vaccin contre l'hépatite B. Nous sommes alors en pleine campagne nationale: les pouvoirs publics incitent la population à se vacciner contre une maladie susceptible de déclencher des hépatites aigües et des cancers du foie. Entre 1994 et 1998, 20 millions de Français sont vaccinés, le tiers de la population.

En février 1997, Camille subit son rappel du vaccin. Dès avril, elle est hospitalisée pour des troubles de l'équilibre et de la vision, constatées lors d'une compétition de gymnastique rythmique. En janvier 1998, le diagnostic formel tombe: c'est la sclérose en plaques. L'adolescente est alors âgée de 15 ans. Sa mère dépose plainte contre GSK en février 1999.

Des centaines de plaintes similaires ont été déposées devant les tribunaux civils, mais aussi au pénal: la juge Marie-Odile Bertella-Geoffroy, qui dirige le pôle de santé publique à Paris, a mis en examen GSK et le français Sanofi Pasteur MSD l'an dernier pour «tromperie aggravée». L'affaire est toujours en cours d'instruction.

Comme bien souvent dans les affaires de santé publique, il est très difficile d'établir la preuve avec certitude. Les études scientifiques tentant de prouver le lien entre la vaccination contre l'hépatite B et la sclérose en plaques peinent à prendre en compte des accidents qui, en tout état de cause, demeurent rares. En septembre 2008, une étude menée par une équipe de l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris concluait ainsi à un risque non-nul, mais faible sur les enfants.

Pour le Tribunal de Nanterre, nul besoin d'attendre une preuve définitive, qui ne viendra sans doute jamais. La responsabilité du laboratoire est engagée s'il existe des «présomptions précises, graves et concordantes», ce qui est le cas pour Camille. Contacté par Libération, GSK refusait jeudi en fin d'après-midi de commenter cette décision ou dire s'il comptait faire ou non appel.

(1) Le prénom a été modifié
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Qui aurait franchement de tout lire du début à la fin...
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SRAS, GRIPPES A/H5N1, A/H1N1…  DES PANDÉMIES PROVIDENTIELLES POUR LES LABOS 235308 faut lire en plusieur fois !!
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toute façon, rien que voir le titre ne me donne pas envie, les média nous exmplose nos télé de cette grippe à la con... tout ça pour vendre leurs vaccins et faire tournée l'argent... c'est déplorable !
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ouais ils prenne la tete avec leurs grippes a la con !!! tout le monde deviens parano !!
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en effet tout le monde devient parano
Cette semaine je l'ai u et je n'en suis pas morte tout va pour le mieux, quand tu l'attrape c'est une grippe comme les autre !
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bien sur ! sauf que comme c'est surmédiatisé, tout le monde s'affole et achète leurs vaccins et leurs masque à deux balles... au moins, ça fait tourner l'argent et c'est peut être pour cette raison qu'il font ça... là c'est la grippe... dans un mois ce sera "acheté tous un parapluie électronique pour vous protéger instantanément quand il pleut !" pfff non mais franchement ^^

après on va dire que je suis trop jeune pour savoir ce qu'est la crise et patati et patata... malheureusement on est tous dans le même sac !
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Pour info l'objet de mon post n'est pas dans l'objectif de faire peur, il s'agit surtout de lettres envoyées à différents ministres pour mettre en garde contre la dangerosité des vaccins. D'ailleurs pour le moment Rosy n'a encore jamais répondu. normal, elle n'y connaît rien en médecine. Elle sait manger son caviar et son foie gras et elle écoute les "conseils des autres" rien de plus. elle était ministre de quoi avant ? de la jeunesse et des sports je crois ?
Je vous envoie le calendrier de vaccination de 2008 si vous voulez, ça donne une bonne idée du nombre de vaccins complètement inutile comme celui de l'hepatite B qu'on injecte dès la naissance et dès le 2em mois.
Si vous avez le coeur bien accroché je vous montrerai le site d'un couple qui ont perdu leur bébé a cause de ses vaccinations massives et les photos du nourisson. c'est absolument horrible à voir.

la grippe en elle même n'est pas encore dangereuse. le virus n'a pas muté mais viendra un jour ou il faudra porter des masques. Egalement nous aurons d'autres pandémies dans le futur, les toubibs le savent parfaitement et cela deviendra normal et habituel de porter des masques. Vous verrez on s'y habituera

Ce sont les vaccins qui me font peur, pas la grippe.

si vous souhaitez des compléments d'informations j'ai ce qu'il faut sous la main.

@+
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ah bah j'ai parler rop vite alors lol... j'aurais mieux fait de lire ^^
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